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peu à peu dans l'aigu d'un mouvement uniforme

  • Un tas de sable à l'esprit

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    Sans que rien qui puisse me rattacher à une quelconque réalité. L’ordinaire syndrome, frappant à grands coups, blessant, éloigne un peu plus d’un concret physique, des gestes palpables, corps en désaccord, fausse note douloureuse qui s’éteint dans un silence, à pas feutrés, s’impose. Le cauchemar à la nuit veille, et des jours en dentelle résistent à la punition, condamnation. A l’erreur d’un désespoir, s’accordent les heures, qui se vrillent, tordant le cœur d’un épuisement à la face du monde. Hurlante, sans même un minuscule bruit, de tous petits morceaux, accrochés au fond des obscurités, qui se perdent en lambeaux. Il ne fait pas beau quand les ténèbres embrassent les lumières artificielles, factices, c’est la tourmente d’un soir d’orage, c’est la fin d’un jour, à l’aube d’un matin, tout pareil, sans soleil, sans même une étincelle, un tant soit peu réelle.