Quand on ne peut pas changer le monde, il faut changer le décor. Daniel Pennac.
Et dans l'entrée, des chaussures, inconnues, secrète et ignorée présence d'une autre qui m'efface d'une vie à reculons, sans façon. Je me bouscule à la détester sans raison. Basculer d'un équilibre, un rien précaire, à l'attente vicieuse que tout s'avorte dans l'erreur de leur couple précipité. Mauvaise, j'ai les rêves en batailles et les blessures béantes, les heures teintées de gris soupirs, de noires ténèbres. J'ai perdu ma place dans un carrefour. Et c'est dans ma vie chamboulée, renversée, que tout va se jouer, s'égayer, c'est dans les jours à crever, qu'il me faut trouver l'envie de continuer, encore et encore, tout recommencer.
Commentaires
Je te souhaite la plus belle des renaissances ... Je t'embrasse fort
Quelque part ta note de pensées c’est la philosophie de la vie que nous combattons tous avec des regrets et des joies. C’est pas pour cela qu’il faut n’être ni exhaustif ou ni ascète, il y a tellement de vies dans sa vie, ce n’est que partie remise, un jeu éternel, c’est une nouvelle maternelle avec sa marelle et de son galet que l’on projette. Bon jeu de pistes !
On en parlera de tout cela, bientôt, face to face ...
Bisous.
Je me le souhaite aussi ainsi qu'à toi, merci Manue, je t'embrasse.
Je vais suivre la piste Eric qu'en a rester dans la marelle c'est une autre histoire : -) mais l'idée de tellement de vies dans une vie, j'apprécie.
Tu m'étonnes : -) ça approche à grands pas Dana et j'adore. Plein de bisous
T'as perdu ta place à Carrefour ?
Le nôtre à nous ????
Mais faut pas te laisser faire !!!!
Gros bisous la renaissante ...
une (re)naissance se fait parfois dans la douleur mais quel bonheur de se sentir vivante, un jour... des baisers-courage
[ben oui, quoi, on a toujours un dîner à partager...]