L’indolence d’un tendre, sur la peau dessine, les prémices délicates, de délices imaginaires. C’est un sentimental usage, un sensuel amoureux, l’épris qui s’impose au désir tout juste éveillé d’un songe en abysses. Le délicat contact console, caresse la tristesse, bien être, à part entière, recomposer pour ne pas s’user jusqu’à l’âme, profondément. La conscience s’ébroue sous l’impact de ses sens, intuitive révélation de la privation altérant les jours pour échapper aux heures cruelles, pour éviter l’insupportable abandon. Dans les nuits des inutiles sacrifices, tournent en boucle les temps perdus, disparus. Retrouver la douceur d’instants nus, dévêtus de tout, rien que nous-mêmes et le plaisir comblant les vides.
celle qu’un monde extérieur vient émouvoir
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Accordez-moi
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