Accumulation, les uns sur les autres, les derniers jours, en pression, sur un point de rupture, qui comme d’habitude résiste, le cœur explosé, le ventre torturé, la peine, le chagrin et la peur, resteront là, sans réellement sortir, pesants, d’une réserve ridicule, ils ne se dévoilent qu’à l’aurore d’autres moments, décalés, sur un temps à rebours qui s’embrouille, des silences et des larmes retenues. Chercher, profondément, essayer d’en parler sans rien en tirer, qu’un sourire crispé sur un, c’est la vie, c’est ainsi, vivre sans, finir sur une absence, définitive et quelques cendres.
Les mots manquent aux émotions. [Victor Hugo]