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Fin de soirée

1084633602.jpgFin de soirée, un peu arrosée, ses propos prennent un aspect vaporeux, hachés, entrecoupés par des silences en bord de songes, elle est ailleurs et c’est une autre histoire. Elle aime comme elle vit, elle le devine sans avenir, elle le veut à petit feu, ça se voit dans ses yeux, brûlant d’une envie incandescente sous l’effet d’une chaleur à consumer son corps, pour une brûlure intense. Elle se rapproche, glissant ça et là, quelques mots à contre temps, hors sujet et le désir au creux des reins, elle regarde ses mains, les imaginant déjà parcourant sa peau, ses mille recoins, ses secrets plaisirs, elle observe ses lèvres pleines et gourmandes, ignorantes du caprice qui l’a prise de clouer sa bouche de baisers, le réduire au silence où plus rien n’a d’importance. Elle peut l’aimer, un peu, beaucoup ou pas du tout, passionnément sûrement, il la comprend, elle le sait, elle le voit, elle le sens, c’est dans l’air de l’improbable, fatalement, hors limites, si ce n’est celle de la fièvre qui ravage ses nuits, elle peut l’aimer sans suite, en fuite, en courant, comme on se noie, désespérément, amoureusement, à la folie du tout est possible. Ou garder le silence, au bord de ses songes, lui dire au revoir sagement, il n’y verras que du feu, c’est peut être mieux.

Commentaires

  • Drôle de dilemme que celui dont tu décris si justement toutes les phases ... Peu sont ceux qui n'y ont jamais goûté sous une forme ou sous une autre . L'histoire d'un moment , d'un instant , où bien ancré sur une idée de départ , tu sens que tout te fais basculer de l'autre côté ... Combattre ou pas , là c'est le mystère du moment qui parfois décide plus que toi même ...

  • Ce moment où tout peut basculer ou au contraire, demeurer dans le secret d'un rêve fou. C'est à la fois séduisant et terrifiant ...
    Les fins de soirée se suivent et ne se ressemblent pas, car j'ai le sentiment de mieux comprendre cette note que la précédente. Comme quoi, il ne faut jamais désespérer ...
    Une question de mots probablement, qui me sont plus familiers.
    Bonne nuit petite Grenouille,
    Je t'embrasse.

  • S'il ne perçoit pas, ou s'en tape, s'il n'y voit que du feu, oui, ce sera peut-être mieux ...

  • Moi je suis adepte de l' "osez, osez Josephine"... Mais moi, c'que j'en dis, hein... ;-)
    J'aime quand tu es claire et directe, comme ce soir. Bises, B.

  • Oui Manue, le mystère de cet instant un peu magique où l'on se laisse glisser d'un coté ou de l'autre sans bien comprendre comment, juste pousser par une envie :-)

    Je savais que tu comprendrais Philo, c'est séduisant mais loin d'être terrifiant, les secrets, les rêves fous sont, je crois, nécessaires, un peu, pour entretenir les désirs. Je t'embrasse aussi.

    Victor, tout ne peut pas se percevoir, se voir, on peut effectivement s'en taper ou pas, ou faire un choix, pour l'un ou l'autre, préserver ou sauter, c'est une question d'équilibre et de besoin, à choisir que préfère t on ...

    Et tu as bien raison de le dire M. je le suis aussi, mais avec le temps ;-) je réalise que certaines choses sont trop précieuses pour être perdues sur un coup de tête, un coup de dés, d'un autre coté ... ca fait du bien d'être claire et directe, ça recadre :-) Bisous

  • "Elle voudrait être devinée. Elle voudrait n'avoir pas à se servir des mots, être aimée muette."

    Quand j'ai lu ces mots...

    Camille Laurens, "Ni toi, ni moi"

    Mais s'il est sourd au silence, il faut trouver des mots, une musique, une odeur pour l'aider...

  • Plein de bon sens. Pour être aimé muet, il faut se taire. Ca rejoint ce que dit Christophe Alévêque : ... vers des horizons lointains où les femmes sont nues et muettes ...

  • Alcool
    ’une envie incandescente
    ses secrets plaisirs
    pleines et gourmandes
    improbable, hors limites,
    fièvre
    Folie

    J'y vois le cocktail d'une histoire au minimum réussie

    Je trinque à ton histoire

    gros bisous
    francouas

  • Le feu, d’accord, ça peut brûler mais aussi, ça réchauffe. Faut-il en avoir peur, le fuir au risque de se priver de son réconfort ? Faut-il le camoufler alors qu’il est lumière ? Bon, il n’est pas toujours facile à gérer comme l’illustre le film de Jean-Jacques Annaud ( http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Guerre_du_feu_(film) ) parfois c’est un drôle de bazar à entretenir et à faire partager, mais au quotidien, une fois apprivoisé, il est plutôt commode pour cuisiner les bons moments.

    Tout ce qu'on a à perdre c'est ce qu'on croit ne jamais pouvoir gagner. Pi quand on essaie pas, ben ça facilite pas les choses...

  • J'aime vraiment beaucoup cette phrase Fée, j'irais découvrir cela d'un peu plus près. Tu sais je n'ai pas spécialement envie qu'on m'entende tout le temps ;-) mais si c'était le cas, je crois que j'opterais pour le contact.

    Victor, j'adhère moyen sur l'instant, qu'une femme puisse vouloir se laisser deviner est une chose, qu'un homme veuille des femmes nues et muettes me semble à mille lieux de l'idée ... non oui joker ? tu fais pas avancer le kiki là ! ;-)

    Un martini blanc avec moi Francouas ? bisous aussi même si le minimun n'est pas admis, il faut au moins du fantastique ;-)

    Alex, tu as l'art et la manière, encore, c'est très vrai et pourtant ...

    Je crois qu'on oublie un peu vite qu'il y a aussi simplement l'envie de jouer, sans gagner ni perdre, sans enjeu, juste surfer sur une idée, une envie.

  • Ca m'est arrivé récemment, ça ;)

  • Ah, Valounette, je sens dans tes propos la force de cet avantage que nous avons de ne plus avoir 20 ans ! "Avec l’expérience", comme qui dirait, on se dit que la passion c’est bien mais qu’il est beaucoup plus sage de savoir lui accorder une place dans l’imaginaire et le plaisir pour qu’elle ne devienne pas un machin qui nous gouverne, quitte à créer des enjeux excessifs, voire néfastes.
    D’ailleurs le commentaire que j’ai mis sur ton dernier post, et dont je suis vraiment heureux qu’il t’ai touché, il causait un peu de ces histoires d’enjeux, d’ordres d’importance, de « choses à leur place ». Et je maintiens d’autant plus le compliment - car c’en était un - qui vise à honorer ce qu’est une femme de valeurs. La nana qui révèle son plus beau sourire quand il s’agit de ses mômes plutôt que pour appâter les gars, ben c’est une personne qui témoigne de sa valeur (sans « s » cette fois). Alors pour nous tous, les mecs : respect !

    Et les désirs, on peut continuer de leur faire la part belle, parce qu’ils sont beaux tout simplement, en jouer avec délice et plaisir, leur donner librement la place légitime qui leur revient ; les réaliser même, avec bonheur et sérénité parce qu’on sait qu’ils sont une partie d’un partage qu’on peut imaginer pour l’avenir.
    Sans doute qu’avec le temps, nous sommes plus prudents, que nous apprenons justement à faire avec lui (le temps), à jauger ce qui est concret et fiable, sans pour autant renoncer à l’enchantement, aux grâces de l’embrasement, en restant simplement nous-mêmes, mieux assumés que naguère, juste humains.

  • cette façon qu'a Alex de parler des nanas "qui révèle leur plus beau sourire quand il s'agit de ses mômes (et les mômes des autres non? )plutôt que pour appater les gars... ce terme d'appater ?? et cela temoignerait de sa valeur, mais c'est quoi ce bizness? il y aurait plusieurs sortes de sourires, l'appât? comment fais-tu pour reconnaître l'appât??? LOL... le bien mignon , gentil sourire aux mômes, celui reservé aux mecs, celui de la seduction etc...et enfin le must le sourire de la mémère, de la vieille et après cela tu parles de rester soi-même?
    je crois qu'être soi même est ce qui est le plus important, sans juger en permanence si l'autre est bien ou pas,( c'est à dire s'il rentre ou pas dans des critères , si on rentre ou pas dans ses critères) dépasser les critères débiles c'est déjà un grand pas, il n'y a rien à gagner ou à perdre, juste être bien là où on est ,avec les gens qu'on rencontre, être juste dans le partage d'un bon moment ( sans jauger si c'est concret, si c'est fiable????)
    bon j'arrete là , et t'envoie mon sourire "special pastas -à pattes de nana" bisous.

  • > if6 : D’abord, merci d’oser « rentrer dans le lard », le consensus c’est pas ce que je préfère et les critiques, ça aide à réfléchir.
    Bon, là je parlais d’impressions, et, évidemment, mes propos sont empreints de mon expérience avec, de ce fait aussi, leur côté péremptoire et hautement discutable.

    « Il y aurait plusieurs sortes de sourires ».

    Oui, les expériences de psychologie expérimentales , les travaux effectués sur la communication non-verbale plus particulièrement, nous amènent à constater qu’il y a d’infimes subtilités dans les expressions faciales, notamment en ce qui concerne la partie haute du visage (yeux, sourcils, front) et qui sont autant de signes à l’attention des autres. Je ne parle pas ici d’interprétation de ces signes, juste du fait qu’ils sont plus riches que ce qu’on pourrait croire à première vue.

    « Je crois qu'être soi même est ce qui est le plus important »

    Il est difficile de ne pas être soi-même… Même dans les troubles de la personnalité dissociatifs, il y a des éléments qui permettent aux autres d’identifier la survenue des épisodes délirants, idem dans les formes de manipulation allant du commercial sympa au sociopathe endurci ! Jouer un rôle n’empêche pas de rester soi-même, il peut cependant arriver que l’on croie être quelqu’un d’autre et alors, dans ce cas, vaut mieux consulter…
    Mais je comprends ce que tu veux dire, c’est relatif à l’idée de « se donner des airs », raconter des bobards… Effectivement, ça demande pas mal d’énergie et au final, on est bien souvent vite perçu comme quelqu’un qu’est pas très à l’aise dans ses baskets, donc, je suis d’accord y’a ça n’est pas l’idéal, ni pour soi ni pour l’entourage.

    « Sans juger en permanence si l'autre est bien ou pas »

    Y’ a aussi « juger », dans le sens de « jauger », « se faire une idée », en référence à la « faculté de juger », de penser, raisonner. N’empêche qu’on a tous et toutes de critères, que notre cervelle va souvent plus vite que notre pensée « élaborée »… N’aura-t-on pas plutôt envie de revoir des gens qui nous semblent « biens » ? Il y a des gens dont la compagnie peut flanquer le cafard, d’autres qui peuvent nous entraîner dans les pires emmerdements, à moins d’avoir un équilibre psychologique en acier (et en fait tout un chacun à ses limites, ses fragilités), du coup les gens « pas bien », ça peut sembler légitime des chercher à les éviter.

    Et là, Valounette elle parlait de « feu », que j’ai interprété comme « passion », ce qui est un état tout de même particulier, non ?

  • Bougrenette, je cite et je rebondis, mais je n'adhère pas, tout au contraire. Tout au contraire ...

  • Je te remercie Alex de ne pas envenimer le débat. Une fois mon com. parti, je l'ai relu et me suis dit que peut-être, ce n'était pas le lieu pour ce genre de discussions, ou comme tu dis pour "rentrer dedans" à partir d'un mot, d'une phrase , quand on sait que tout cela est dit très vite et ne reflète pas toujours la finesse d'un état ou d'une pensée. Tu as raison quand tu dis "être soi-même" c'est ce qu'on fait en général, et il y a là matière à toute une gamme de personnalités (le commercial trop sympa, toujours souriant qui te raconte n'importe quoi, les gens dont on voit bien qu'ils ont de gros gros pb. et ceux qui cachent, les pervers, la gamme est infinie et bien sûr, nous avons des sens pour detecter tout cela. Mais
    c'est tout de même relatif (à moins de caractères bien marqués, bien étiquetés) et il faut avoir une sacré expérience des gens et se connaître bien soi-même pour saisir rapidement que telle ou telle rencontre risque de nous être fatale. C'est bien pour cela, que nous y allons quand même, parce qu'aucune rencontre ne laisse indifférent, à moins de se fixer des critères, d'exclure d'emblée "la nana qui appâte et le mec au sourire carnassier" la blonde jolie, forcément séductrice et la brune grosse et môche qui cherche forcément un mec, (Je n'ai rien pour la rousse désolée Bougre!) mais dans ces critères là, où s'arrête le classement ? Alors bien sûr, avoir un minimum de ressenti et de jugement, de bon -sens , de notion de risques que l'on peut prendre ou pas, de confiance que l'on peut "échanger" de jeu que l'on peut jouer en sachant que l'on ne joue pas vraiment,
    J'aime bien la phrase de Bougrenette, "Elle aime comme elle vit" , oui elle aime comme elle vit et ça se sent, ça se lit dans ses textes mener sa vie c'est aussi ça , aimer sans se poser de questions trop graves, sans investir la vie de l'autre, en laissant venir les choses, en les provocant un peu , en laissant de la liberté, en se demandant comment faire, en nous le faisant partager
    Mais au fond, dans le sens de se faire une idée, essayer de comprendre plut^t que juger
    je suis d'accord avec tout ce que tu dis là.
    Ouf!!! voilà,
    mille excuses bougre, d'encombrer ainsi ton espace.
    bisous. :)

  • Fiso, en remuant un peu ma mémoire, il me semble, si je me trompe pas de moment, que tu as finalement opté pour le contact aussi :-)

    Victor, je préfère ça :-) ceci dit chacun est libre de ses goûts. Moi j'aime bien les bruns aux yeux verts muets et nus, comme quoi ...

    If, Alex, je crois que votre échange se suffit à lui même, dois je vous dire qu'il n'y a pas a s'excuser, bien au contraire, j'apprécie énormément, je pense qu'on devrait peut être un peu moins réfléchir quand on envois les commentaires, que ce qui est dit sous impulsion est ce que l'on ressent sur l'instant et que c'est finalement un beau cadeau pour l'auteur du blog que de voir son espace comme un lieu de liberté, de plus vous avez choisi de vous répondre et ça aussi j'apprécie, on se met bien trop souvent les commentaires derrière l'oreille et on se brosse pour une réponse.

    gros bisous à vous deux

  • J'apprécie également ce débat impromptu qui n'est pas parti en "live", mais soigneusement contrôlé par des êtres dont l'intelligence ne fait aucun doute ...
    Respect !

  • > If6 : Je me doutais bien que ton intervention reflétait une indignation face aux préjugés, et c’est la raison pour laquelle j’ai tâché d’y répondre avec des arguments au lieu de prendre la mouche et renchérir dans le « rentrage dans le lard » ;-)
    Ce que tu as écrit dans ce commentaire vif, je l’ai entendu comme la rection d’une personne choquée qui se dit : « Qu’est-ce que c’est que ces leçons à la noix de beauf réac un peu misogyne sur les bords ? » Bien sûr c’est le cas, mais je me suis employé à rattraper la bourde pour que les gens ils croient qu’en vrai je suis pas si con ! :-D

    Pour les caractères, le critères, tout les bidules qu’on se donne pour outils et qui servent au fond à pas se faire avoir, oui, il vaut mieux bien se connaître, connaître se fragilités et trouver le bon équilibre pour ne pas être sur la défensive. Comme le sujet du post parle d’amour si j’ai bine tout suivi, là faut faire gaffe, lorsqu’on a eu à faire à des gens pervers ou malades sur le plan psychologique, après on est un peu comme le chat échaudé qui craint la douche froide même avec une combinaison de plongée... C’est un truc que j’ai vécu, j’ai dû aller voir un psy et prendre des médocs pour refaire surface et si je cause d’une chose intime comme ça ici c’est pour témoigner du fait qu’on peut redevenir cool après, en tirer des connaissances sur soi et les autres et ne pas trop flipper ensuite son avenir sentimental (même si au début, on flippe néanmoins pas mal, en fait…)
    Mais bon, les gens vraiment susceptible de nous bousculer la cervelle ne sont pas non plus à chaque coin de rue, ça reste une minorité et ça n’empêche pas non plus qu’il y ait des gros faux-culs et profiteurs avec des gros souliers. Et lorsqu’on est plutôt d’une nature sensible, ben souvent on se laisse plus aisément berner. C’est une qualité d’être sensible, mais il est important de garder la tête froide, de rationaliser, prendre de la distance. Faut aussi du lâcher prise, c’est pas évident à doser, c’est tout un équilibre, mais c’est tout à fait jouable.

    Ce que j’essayais de dire à Valounette à travers mon blabla c’est que je suis très heureux d’avoir découvert en elle une maman épanouie qui se lâche totalement quand il est question de son fils, que je trouve ça vraiment très beau, et que sons sourire qui est tout de même très joli, regardez en haut à droite si vous me croyez pas, je le trouve encore plus « craquant » lorsqu’elle elle l’affiche en parlant du fiston que lorsqu’elle accueille ses convive avec une hospitalité qui mérite ici d’être saluée à nouveau.

    > Valounette : Bon je t'ai assez fait de compliments comme ça pour la semaine, j'arrête, sinon tu vas avoir la grosse tête !
    :-p

    Les filles, je vous embrasse. Valounette, If6 vous êtes des poétesses, des artistes et tout de même c'est beau ça (dans ce monde de brutes) !

  • Merci pour les filles !!
    Et le Philo il sent le pâté ? :(((

  • Ménon, ménon, Philo, mais comme t'as parlé d'intelligence, ben je me suis pas reconnu, arrrfff :-p

  • Bon t'es pardonné !
    Et on efface tout avant l'arrivée de la Grenouille ;-)

  • :-)))
    aller je m'accorde à mon fils et moi, une histoire qui mérite un sourire peut être différent parce que durement gagné. Comme dit précédemment on a tous une expérience personnelle, que chacun capte de différente manière selon les infos qu'il a de moi.

    je suis une poétesse p'tain la classe
    mais Alex de te dire quand même que je suis encore sous le charme de "Un beau moment est à jamais acquis" qui est carrement sublime et que j'invite à lire si cela n'est pas déjà fait, si si, faut pas passer à coté.

    Allons Philo tu n'as rien d'un paté !!! à moins qu'il y ai une face C ... ?

  • euh... je fais ma p'tite joueuse et me contente de déposer une bise... et pis je sors... y a pu'd'place pour écrire sur la carte!

  • J'ai aussi ma face C façon paté ou bocal de Nutella !
    Mais c'est une autre histoire ...
    Bisous.

  • J'arrête de m'absenter pendant cinq jours, on rate des trucs !

  • Ah, oui ! Vraiment beau, c'est le langage que je ne vais jamais apprendre...je suis monté sur le dos des rythmes et je me suis brûlé les yeux en lisant ce texte !

  • Mais non tu vois, finalement tu n'as rien raté ;-) voila ce que c'est d'être toujours en vadrouille.

    Igor, merci pour ton regard, désolé pour la brûlure, enfin non, pas tant que ça.

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