Ne pas vraiment savoir quoi dire, comme souvent, se demander pourquoi un blog et trouver très rapidement des réponses à la question, pour tout ce que je vis et ce qui reste à venir (se munir d‘un crayon pour dessiner quelques songes). De vous lire, heureux, malheureux, en peines, amoureux, gourmands, chercheurs de temps, de désirs, d’envies, enfants, libertins, jouisseurs, sincères, vulgaires, poètes, tendres, j’en passe, tellement d’humeurs et de différences, de façons de faire, de vivre, de rêver. Une vrai richesse, aux pages qui se tournent, sur des réalités que l’on ne comprend pas toujours, d’histoires vrais, de contes de fées, sans conclusions mais pas sans morales, que l’on suit à distance, attentifs le plus souvent, distraits parfois dans une confusion de flux qui s’entrecroisent sans se voir.
J’ai été tagué, par Mitch, sans tout bien comprendre, si ce n’est que je peux tricher, il me fallait déposer la sixième photo de mon sixième dossier avant mon dernier, ou c’est l’inverse, ou le contraire, je ne sais plus, bref, (c’est bordel dans mon disque dur) en fait j’en profite pour partager mon dernier amusement (un sans conséquences), découvert grâce au blog de Mon galet doré.
"Je m'obstine à arrêter ce temps qui fuit..." Robert Doisneau
Commentaires
et hop ! prem's, pour une fois (boudillou que c'est calme...!) Dis donc, avec ton stylo à songe, tu pourrais me dessiner une machine à remonter le temps. Oh ! une pas forcément ultra-sophistiquée, disons une qui pourrait remonter jusqu'à jeudi soir, disons avant 23h 30. Je compte sur toi?... Bise
Nous faut absolument un crayon Oh! ;-) pour dessiner des passerelles et tout et tout.
Et le temps il n'aura qu'a bien se tenir, non mais des fois. Je t'embrasse fort !
Ben moi je veux des songes en couleur même s'il y a de mauvaises langues qui affirment qu'ils sont réservés aux fous, au fait j'ai jamais dit que j'étais "normale" ; ), je t'embrasse fort depuis mon lointain enneigé. Bisous.
Je viens ici comme au Café du Commerce pour entendre les derniers potins et prendre la température de l'humanité de mon quartier. Euh, là, j'avoue j'ai rien compris au jeu. Faudra m'expliquer. Des baisers à défaut d'un commentaire ad hoc.
bon dimanche Boug! bisous
Où sont les limites de la normalité hein ? Dana ;-) Moi aussi je t'embrasse d'ici où le soleil brille, un vrai bonheur.
Ad hoc, ou des baisers, j'avoue mon coeur balance, pour le jeu :-) j'avoue quelques difficultés, quand au site de montages faut essayer, c'est amusant. Je vous embrasse.
Qu'il te soit beau If6, que le bonheur soit chaud à ton jour. Gros bisous
Par un après-midi d'hiver, l'année dernière, j'ai soulevé un rocher aux formes incertaines et je t'ai trouvée. Je t'ai lue sans te comprendre, t'ai comprise sans te lire. Et comme le Petit Prince et le renard, nous nous sommes apprivoisées.
Quand l'agacement et la lassitude (about le blog) me prennent, et tu sais que c'est chose régulière chez moi, je pense à cet après-midi et me dis que non, je n'ai définitivement pas perdu mon temps.
Je t'embrasse fort
L'ennui j'ignore
Mais la paresse savoure
Laissant le temps couler
Et le contemplant à l'infini
Nulle ruse
Juste à regarder
...
:-)
Je fonce voir ce que c'est la sixième photo de mon sixième dossier !
Tout comme moi tu trouves les réponses à tes questions et certaines nous sont communes, Ma Petite M. on a trouvé des trésors grâce au blog, du précieux, à préserver sans l'ombre d'un doute. Je t'embrasse très fort.
Savourer et contempler surement Quidam, mais il serait un peu triste de ne pas en jouer un peu :-)
Tu vas surement trouver une merveille en sixième place Macaron !