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Sous influence

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Une nuit, sous influence
J'ai rencontré sur le bord d'un rêve
Un p'tit morceau de bonheur
Sur ma mémoire reste encore
Quelques morceaux d'émotions
Le bruit de la mer
Pour rythmer les instants
Un refrain qui fait du bien.
Des oiseaux hauts dans le ciel
Ombres chinoises
En projection sur le sol
Pour un spectacle furtif, exquis
Le ciel à peine voilé par quelques nuages
En entractes.
La chaleur d'un soleil suffisante
Pour se découvrir,
Se sentir,
Effleurements,
Peau contre peau
Epidermes entre parenthèses
Une main dans la mienne
Un rire en écho
Pour un réveil en soupirs
En souvenir quelques grains de sable
Collés sur mes joues en reflets irisés.

Photo : Angelreich

Commentaires

  • Que serions-nous avec la furtivité d'une mémoire de poisson rouge ?
    Heureusement nous savons recréer des images, des ressentis et même des parfums en triturant nos neurones. Ce n'est pas toujours dans le bon ordre ;-) mais cela demeure fidèle.
    Il est doux de puiser dans ce que nous avons été en gardant l'espoir de l'être encore ...
    Bonne journée à toi Bougremarine,
    Je t'embrasse tendrement.

  • Des instants de bonheur et de plénitude se vivent dans les rêves et c'est vraiment bien, ils se vivent aussi dans la vie , les rêves et la vie étant étroitement liés, alors il ne reste plus qu'à.....
    je t'embrasse et te souhaite une très bonne journée, chaque journée compte des instants de bonheur à saisir au passage

  • Un jour quelqu'un m'a dit : l'éphémère peut apporter sa part de bonheur . Peut être faut il s'arrêter à ça !!! Mais nature féminine oblige , on ne s'en contente jamais . mille bisous

  • Si le rêve était dans le ton de la photo, alors oui faut dire que c'est tout de même autre chose que notre Ile de France sous un temps de cochon... euh de sanglier, j'voulais dire :-p

  • De bord en bord, de rêve en rêve, tu retrouves toujours le chemin des bonheurs, des présents et des passés emmêlés. Là par exemple, tu m'emmènes en Bretagne dans la morsure d'une bise salée, dans la caresse d'un rayon au couchant. Passé et présent emmêlés, noués, épaulés pour dessiner ces reflets irisés que tu nous montres sur ta joue.

  • " J'ai reconnu mon bonheur selon le bruit qu'il a fait en partant " disait Prévert. Dommage que le bonheur soit souvent un état au passé . Mais, ainsi, d'illusion en illusion, de souvenir en souvenir, on bâtit un pont entre le rêve et la réalité.

  • Je vous aime, le savez vous ?
    Il y a des soirs comme ça, je vous redécouvre à nouveau, les uns et les autres uniques et ensemble fantastiques.
    J'ai beaucoup de chance.
    Merci ... a vous tous, d'être à ce point vous.

  • Ah c'est si bon un peu d'amour dans ce monde de babouins hystériques...!
    Merci à toi. On t'aime aussi, tu le sais, ça ? (même si t'habites dans une contrée sauvage avec que des sangliers autours).

    Tiens, elle a pas l'air mal gaulée la BRUNE, en haut à droite sur la photo... ;-)

    Allez, dodo et fais de beaux rêves, sweet baby. Biz Biz Biz

  • désolé ... c'est trop tard, le mal est fait !
    la prochaine fois t'éviteras de parler des blondes sans prendre la peine de penser aux terribles conséquences, hin hin hin (rire diabolique)
    il te restera l'eau du robinet pour eviter de mourrir empoissonné
    bisous

  • Mais t'es vraiment sans pitié toi, hein ?!

  • (Rien ne nous prouve que tu n'es pas une blonde teinte en brune d'ailleurs)

  • n'essaye pas de détourner l'attention, et sans pitié aucune, donc tu as interet a te munir de ton panier repas ou a trouver le moyen de me faire oublier les mots terribles que tu as écrit sans l'ombre d'un regret aucun, et tu peux oublier les vidéos d'hommes à demi nus voir plus, ca marche plus !

  • Snif. Je ferais n'importe quoi pour obtenir ton pardon (siteuplait !)

  • Je vais en parler aux sangliers ....
    Et arrête de couiner, t'es un grand garçon maintenant ;-)
    Aller je te pardonne pour cette fois

  • la poésie connait toujours des fins surprenantes

  • Après les mots de Bougrenette, la brise légère au ciel d'hiver ensoleillé, le vent léger dans les premières chaleurs du printemps, le souffle brûlant de l'autan sur le Canal, c'est encore du Bougrenette.

  • Mais la poésie n'a pas de fin oh ;-) ce n'est que le début d'autre chose, quelle chance !
    Bo, des mots qui dessinent un joli paysage, merci du passage.

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