Cette nuit un homme expliquait qu’il voulait organiser une exposition sur le thème : « Avec la marée la femme a le sexe fermé. »
J’ignore comment je dois interpréter ce rêve.
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Cette nuit un homme expliquait qu’il voulait organiser une exposition sur le thème : « Avec la marée la femme a le sexe fermé. »
J’ignore comment je dois interpréter ce rêve.
Nous sommes allés au théâtre voir « la douleur » dommage que le metteur en scène l’ai mise dans un coin, à une table, m’empêchant ainsi d’apprécier totalement le jeu fabuleux de l’actrice, tant pis j’ai écouté en fermant les yeux, Dominique BLANC y est sublime de talent, elle porte cette douleur à bout d’émotions.
Pied de nez à mon quotidien gavé d’elle, il y a trois dimension de la douleur, sensorielle, affective-émotionnelle, sociologique, on peut aussi constater qu’une affective-émotionnelle peut déclencher la sensorielle sans trop d’effort. La sociologique ne me parle pas. La douleur au sens large est souffrance. Je viens de lire sur la toile: « Et si la souffrance était auto-engendrée ? » et aussi : « « J'aime la majesté des souffrances humaines » (Vigny) Ce vers n'est pas pour la réflexion. Les souffrances humaines n'ont pas de majesté. Il faut donc que ce vers ne soit pas réfléchi. » Arrêter de réfléchir.
Le crétin sera-t-il enfin heureux, peut on soudain décider d’être amoureux, c’est pourtant étrangement cohérent mais cela semble si fragile aussi.
Au bureau avant hier le tailleur de boubous et son sourire comme un soleil m’a demandé ma taille avant de partir retrouver sa famille dans son pays, c’est triste de les voir vivre loin de ceux qu’ils aiment.
Jérémy semble moins triste, qu’il a été dur de le voir encaisser son premier chagrin d’amour, c’était la femme de sa vie disait il, à dix sept ans, cela est il possible, je n’osais y croire, j’aurais voulu le voir, ses larmes sont un chagrin terrible que je regarde sans pouvoir rien y faire, impuissante. J’ai beaucoup ri en regardant Rango avec lui. Pour ce soir j’ai commandé chinois, j’ai demandé les nouilles sans soja et quarante raviolis grillés, il adore ça avec la sauce qui déchire.
Demain nous allons voir la mer et cette amie très chère qui nous manque tant.
Je veux tout changer et un nouveau départ, un appartement, mon espace à moi.
J’ai accroché « La Forme poussant dans les jardins aimés » pour voir.
J’ai presque pleuré dans les cabines en essayant de jolies choses qui ne m’allaient pas, mon image me fait du mal dans les miroirs.
Et après j'ai pleuré pour rien, en tournant la tête cela ne s'est pas vu.
On me dit que je dois être « belle » car je compte pour elle, le mariage est dans 10 jours à partir de demain et ça ne va pas le faire.
Ange s'exprime le matin dans la salle de bain, elle doit avoir des nuits à raconter, je ne parle pas le chat et c’est dommage mais elle me raconte quand même.
Il y avait ce matin par terre une boule délicate qui s’est cassée entre nos doigts.
L’amour est dans le pré, c’est osé, intrusif et intime et pourtant ça fait un peu rêver, c’est touchant leurs sourires et ces bonheurs fragiles.
Ca fait quatre années que je voyage de nuit, j’ai pensé que c’était tout, qu’il m’avait tout donné, eux surtout, ceux qui comptent, que j’avais épuisé les sujets et les envies de partager et puis non.
Quand je regarde mes pieds ça me fait bizarre et j’aime nos audacieuses confidences et les larmes dans ses yeux quand elle s’émeut.
"...heureusement que j'avais la culotte, je vénère la culotte, je veux me réincarner en culotte slip ..."
Images et souvenirs à la surface de cette journée un peu particulière, un jour d’orage, un dimanche, très chaud aussi, tout aussi lourd, un jardin intérieur, gorgé de fleurs épanouies, prêtes à laisser tomber les pétales, le parfum lourd de leurs essences mélangées, un rien sauvage, manquant d’entretien, un jardin un peu sauvage, avec ses herbes folles, le chemin pavé effacé, et les murs de pierre tout autour, des fenêtres aussi, voilées par les reflets du ciel, et l’orage a éclaté, fort, hurleur, bruyant, féroce, les gouttes énormes sont tombées, un déluge, une tourmente, une colère éclatante, sans bouger, sans courir s‘abriter, les yeux et le visage levés vers le ciel furieux, ayant atteint un point de non retour, violence enragée soudaine et changement de lumière, plus blanc, et des gris, étrangement différents, et le noir obscure, des mains sur la peau, tendues, vagabondes, curieuses de découvrir les effets de l‘eau glacée sur l‘épiderme surchauffé, des lèvres qui se posent pour goûter, sentir et savourer, dessinant un chemin brûlant du bas du dos aux épaules pour finir sur un sein tendu, et l’amour là dans le jardin sauvage, sans témoins, ou peut être quelqu' un derrière les fenêtres, dissimulé.
- On ne s'aime plus vraiment, l'amour est une illusion, ils n'aiment simplement pas être seuls, et si en plus elle fait la cuisine, le ménage et qu'elle aime le missionnaire, c'est encore mieux !
- Le missionnaire ? c'est une série télé ? ...
Sur le bord de l’hallucination
Une image bascule, tentacules
Sur un songe, trompe-l’œil.
Aberration chimérique,
D’une vision, crépusculaire.
Le fantasme illusoire
Du mirage mythique, qui s'invite
S’enfonce en rêverie,
Au fin fond d’une heure
Qui se leurre d’un mystère.
Réalité troublée fantaisiste
Qui s’agite en simulacres,
Dans la mouvance d’un instant
De conscience ravagée.
Perception de pensées rayées, abimées,
D’avoir été jetées à la volée
En évasions, escapades bancales,
Dans d'obscures divagations.
Aujourd'hui on m'a offert un rêve. Imaginez-vous à…4000 mètres d’altitude, le moniteur vous tape sur l’épaule, c’est le moment, mise en place à la porte et …ça y est, le grand plongeon, 50 secondes de pure chute libre, 2500 mètres, de pures émotions … indescriptible de violence et de plaisir, c'était génialement bon.