J'ai le cerveau qui se serre, en contractions, sous silence, j'expulse quelques vertiges, qui me font planer quelques secondes, ailleurs, au mieux je retombe, pas trop loin, l'air de rien, au pire je rechute, sans trop de mal. J'ai quelques heures à habiter. Hésitations et quelques mots qui trébuchent sur un temps incohérent. C'est plus facile en son absence, juste une carence, une petite insuffisance, que je me traine sans trop d'efforts, une habitude familière. Que vais-je faire des sentiments en sa présence.
Commentaires
les sentiments en sa présence je les place dans le tirroir dans un sous main entre nativité et naïvité querelleuses pour mieux le goûter.
je dirai que demain ça ira mieux, sans perdre les sentiments que c'est une longue histoire et qu'il faut du temps, (sans savoir de quoi tu parles au juste), deviner ce qui te peine tant, la peine parfois est un recueillement, un instant de repos, une petite flamme qui brûle,
bref je ne sais pas quoi dire, car je n'y connais rien
je trouve cette illustration très jolie en tous cas,
ma belle
je t'embrasse
et c'est l'hiver, je t'attends
quand tu passeras par ici...
bis2
Tu va les laisser eux aussi virevolter
t'envahir, te faire sourire, ta faire planer
Je ne vois pas pourquoi tu ne devrais supporter
dans les couleurs de la vie que celles foncées
donc on les range ;-) merci Eric.
même moi j'ignore de quoi je parle If, ça complique considérablement la chose et l'analyse mais au final j'aime toujours autant vous "embrouiller" comme ici ou tu m'offres du coup une bien jolie non-interprétation, je t'embrasse fort avant de pouvoir passer de voir.
Et toi tu les laisses voler M.S. :-)
Je les laisse voler, je les laisse m'embrouiller
j'attends mes éclats de rire, mes débordements de baisers
parfois il y a des hurlements, des larmes et des cris
mais au bout du compte ça fait partie de ma vie
et de frémir, ressentir, transmettre et partager
au bout du compte, c'est vrai qu'on est épuisé
on a peur, on hésite, on redoute, on est même gêné
pourtant c'est si bon de dire "merci à toi d'exister"
Mon cerveau à moi émet des sifflements depuis que le connais...
De toute façon,les médecins ont décidé
Nous sommes tous malades...
Essayons de l'ignorer,au moins de temps en temps...
Ceci est une réponse partielle donnée par une cervelle fatiguée...
Bonjour
Et c'est la vie :-) je t'embrasse M.S.
Bonsoir, le conteur, encore faut t'y pouvoir l'ignorer mais c'est un fait, on souffre tous plus ou moins de quelque chose, repose toi, c'est le meilleur remède.
zzzzzzzzzzzzzzz :-)