J’ai peur des ciels sans horizons
Croire, faut il croire encore, l’espoir, s’accrocher vers le haut, se hisser, sans retomber, s’élever pour s‘envoler, se réinventer, se réapproprier des rêves qui traînent, de la peine en dentelle se faire des soupirs à déchirer les nuits. S’écrire des sanguines à la peau, les ôter à s‘effleurer, se voiler le regard et s‘y cacher, s’ouvrir l’âme en grand, écartelée, quel est le risque intime. Intoxiquer l’apprivoisé, retrouver sans faute, se mettre au corps à corps comme en porte-à-faux, présomption d’absence, en effet de soi pour toi.
Commentaires
Moi c'est les horizons sans ciel qui me font peur... quand ils sont si gris qu'on ne peut plus distinguer la démarcation.
Reste l'option, partir en mer. Les deux bleus ne sont jamais les mêmes.
bises, ma Grenouille
Oui, surtout oui, croire, croire encore, croire toujours, parce qu'un lendemain, il y en aura un sans faute. Un beau, un laid, un qui fait peur, un qui fait rire, mais un qui en appellera un autre, puis encore un autre, et un autre, et au milieu de tout ce fatras, toujours ici et là, plus ou moins dissimulés, quelques fois simplement dans quelques beaux mots comme les tiens, des petits morceaux de bonheur !...
Comme une invocation aux cieux, quand la volonté seule ne suffit plus. Je dis comme Oh! ce soir. Je ne suis pas très diserte sur ce coup-là, trop touchée sans doute par la puissance de vos mots. Toucheé-coulée, la Gi. Des bisous. Vous savez où me trouver.
J'avais bien compris le début, mais j'ai décroché au milieu... je vais relire...
bonne journée
ou l'horizon lui même Chevalier : -)
il est parfois difficile de croire Oh! surtout quand l'on sait qu'il y a une multitude de jours à habiter, merci.
Oui Gi, sans vouloir faire de parallèle, je me dis que même si l'on sait où chercher, trouver n'en deviens pas plus facile.
Amélie à toi aussi.
"s'ouvrir l'âme en grand , écartelée" , le désir de vivre, en grand écart avec la souffrance d'exister .... plus loin que la peine , ateindre les perles irisées de nos espoirs, plongée en apnée, pour pénéter notre intime pulsion de vie.
Des sourires tendresse
Et je souris en retour, c'est un joli écho comme j'aime :-) merci MarieM
Je retiendrai le croire encore et la très jolie dentelle. Hauts les corps!
et les cœurs suivront : -) il est surement souhaitable de ne retenir que l'essentiel, c'est vrai. Peut être manque t il les même vents qui t'ont porté.
toujours en phase de doute ?....
non en phase de recherche d'essence :-)
Je suis juste passé te faire une bise avant d'aller au dodo.
Suis crevé !
Je pensais à toi, avec un sourire.
bisous :)
Nul doute à avoir car, après tout, un demain n'est qu'un futur hier...
Warf !
: -) j'aime bien quand l'on pense à moi, merci Chevalier.
glop ; -) c'est un fait.