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  • Une simple indulgence

    celle qui parle basL’isolement m’apaise et sans effort je m’efface. J’ai de la peine à lire, une fois encore, ce reproche, cet exemple à ne pas suivre, mais c’est ainsi, c’est écrit, pour toujours me semble t-il. Dans une recherche de douceur la dureté me blesse, heurte ma tristesse, une incompréhension dans la distance a créé une faille et des doutes que l’abandon transforme en colères mélancoliques. Je deviens incapable, inapte, coupable pour une faute, une maladresse sans cesse et j’ai peur de vivre tout simplement, de sortir, d’avoir à dire combien c’est dur de tenir des heures hors de mes murs, ailleurs. Ma douleur m’emprisonne et je suis incapable d’expliquer, d’exprimer combien c’est dur d’avoir mal sans cesse, de combattre jour après jour l’envie que cela cesse enfin, de faire bonne figure alors qu’on cède à la faiblesse d’abandonner, de laisser tomber. Qu’on me laisse un peu de temps et qu’on me pardonne.

  • Au bout du jour

    « Parfois, la seule façon de réussir, c’est de poursuivre même si le corps et l’esprit protestent. » Stephen King.

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    Alors il faut poursuivre… je suis allée jeter un œil, ma peine et mon cœur dans le lac d’Annecy, magnifique et sublime, l’un des plus beaux endroits que je connaisse. Fallait bien ça après ma déception au center parc de Normandie, moche et froid, mal foutu, je n’y retournerais plus. Et maintenant on recommence boulot dodo hosto, faut que je me trouve un projet de vacances, un truc chouette, un bel endroit et poser des dates. J’ai trié mes chaussettes aussi,  faut pas croire c’est difficile ça aussi.