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  • Drôle d'oiseau

     Celui qui veut manger des oeufs, doit supporter les poules ...  

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    Quand je lis : "La naissance du monde à partir d'un oeuf est une idée commune aux Celtes, aux Grecs, aux Égyptiens, aux Phéniciens, aux Cananéens, aux Tibétains, aux Hindous, aux Vietnamiens, aux Chinois, aux Japonais, aux populations sibériennes et indonésiennes, à bien d'autres encore ... http://hypermedia.univ-paris8.fr/ovosite/oeuf/frs-oeuf.htm" je me dis : si la poule vient de l'oeuf ou l'oeuf de la poule (problème toujours sans réponse à ce jour), et je ne sais absolument plus ce que je me dis ... je suis un poil brouillon en ce moment je trouve, bref , je vous le dis, vous en tirez des conclusions, ou pas, et vive les poules ...  
    • Voila là une note à "l'arrachée" j'avais trouvé une autre citation qui disait " le sexe sans péché, c'est comme un oeuf sans sel" de "je sais plus qui", je suppose qu'il ne parlait pas de la pêche avec un hameçon et les p'tits fauteuils pliants rigolos, ni du fruit, ni de l'arbre aussi d'ailleurs, quoi que ... enfin bref il devait parler du péché "pour désigner une transgression volontaire ou non" chez wikimachin ils l'illustrent avec l'exemple suivant "« La tarte aux pommes, c'est mon péché mignon. » bon tout ça pour dire que j'ai préféré l'autre, moins compliquée ...

     * additif du 24/09/07 à 16 h 46, suite au commentaire de Mr JECHOUGNE et après recherche sur le net (le nom du site me fait doucement sourire je dois l'avouer mais c'est contre ma volonté propre  ) j'aimerais beaucoup voir la poule qui pond ça, si quelqu'un a une photo sous le coude, merci de me la faire parvenir.

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  • Journal à un Ange : Fin provisoire

    Image hébergée par servimg.com  

    Poser quelques mots en échos
    Pour ne pas voir l’instant s’envoler
    Ne pas oublier,
    Qu’au fond de son cœur,
    Il faut aimer un peu
    Pour aimer mieux,
    Plus haut, plus beau
    Et que les souvenirs
    N’assombrissent pas les jours à venir.

    J’ai pas envie de m’attacher à des chimères
    J’avais besoin de savoir que quelque part
    Quelqu’un m’aimait.
    Par pur hasard
    Quelqu’un d’un peu à part.

    En particules d’éphémères
    Dans la candeur d’une séduction
    Sans motivations.
    Pour me fabriquer des illusions
    Mettre un peu de couleurs à ma vie
    Me fabriquer un décor pour un ou deux frissons.
    Le reflet troublé
    D’une vie a jeter ou a recommencer.


    mardi 20 septembre 2006

    Aujourd hui, on m’a offert un voyage.
    Une destination inconnue
    J’ai hésité, ne voulant pas me tromper
    J’ai pris les pages, les feuilletant doucement,
    Retardant le moment du départ,
    Le ventre noué, redoutant un je ne sais quoi
    Il n’y a pas d’images
    Juste des mots arrachés à une vie
    Juste les brides d’une histoire à en mourir
    J’ai respiré et j’ai plongé …
    Témoin silencieux d’un cœur à cœur fatal,
    Pour un corps à corps, idéal.
    Une histoire de douleur contre douceur,
    Combat inégal, passage improbable
    D’un rêve à une réalité voilée
    Camouflée, en mots éparpillés
    Dissimulée sous des apparences
    Sans évidences.
    Juste des mots en lumière
    Pour écrire une histoire d’ombres et de mirages
    D’espoirs et de déchirures lavées dans le sang des larmes
    Pour que les traces à jamais demeurent,
    J’ai reposé les pages, le cœur à l’envers
    Les yeux noyés de m’y être un peu trop plongée
    Consciente du cadeau, du voyage qui m’a été offert,
    Une nuit de septembre.
    J’entends encore le bruit de ses ailes
    Et surtout son rire.


    Fin d'une époque.

    Certaines choses changent, inexorablement …

    Pour rappel http://voyagesdenuit.hautetfort.com/archive/2007/08/01/le-journal-a-un-ange.html


  • La 100ème note

    J'ai pu constaté ailleurs qu'il était courant de marquer le coup pour la 100ème note, (moi je suis surtout fière des 282 commentaires qu'on m'annonce à la connexion, car eux c'est vous) j'ai donc chercher quelque chose de percutant à dire, à raconter, pas trouver, j'ai le cerveau méduse aujourd-hui (silence dans le fond ! j'ai entendu "pourquoi préciser aujourd-hui"). Je vais donc simplement partager avec vous le cadeau que j'ai trouver sur mon bureau, ce matin en arrivant, je suis ravie, une première pour moi et il faut reconnaître qu'à part le calendrier moi le rugby j'y connais rien, mais je suis très motivée, si si ... j'ai même pris l'appareil photo pour prendre les culs joueurs si j'en croise.

    Image hébergée par servimg.com

    Je vous souhaite une belle, belle journée !

  • Adeline

    d298a25624aec5a127cdb4328a2d0e31.jpgAdeline, mon Amie,
    Mes fous rires en éclats de tendresses.
    Ma douceur sous un gant de fer, mon ivresse à la pression.
    Bon anniversaire.
    Promis craché, sur la tête du poisson,
    Quand j’aurais trouvé le génie dans la lampe a frotter,
    Je nous offrirais un jet privé et un bar à bière(s).

  • Gicerilla, ou le petit théâtre de la vie.

    Ca fait déjà un p'tit moment que j'avais "envie" de partager le plaisir que j'ai a visiter le blog de Gicerilla. Aller je vais le faire à la "Il était une fois", une bougrenette en vadrouille de blog en blog de mise à jour en mise à jour c'était le jeudi 09 août 2007 (j'ai pas l'heure) quand j'ai lu la note du jour je n'ai pu m'empêcher de déposer un commentaire. J'ai tout suite apprécié le style, les sujets, la manière et le talent, cette façon qu'elle a, bien à elle, de partager ses émotions et ses plaisirs. J'ai même un cahier spécial pour noter toutes les découvertes que je fais chez elle, sur le vin, les voitures, les yeux verts, les rabbits roses, les îles désertes et j'en passe ... pur bonheur de plonger dans un univers éclectique sensuel et différent et j'aime a dire et a répéter encore et encore les différences sont une énorme richesse, qu'il faut préserver, seul nous ne sommes que peu de chose mais ensemble cela devient soudain nouveau, riche et unique.

    Exemple, moi et la musique, c'est pas une longue histoire, comme dirait le lutin j'ai des goûts de chiottes (pardonnez mais c'est le lutin qui le dit) j'écoute Florent Pagny (j'en connais un autre qui ronronne là) et j'affirme haut et fort que c'est génial et j'assume avec un grand sourire (tout comme la blague des muffins dans le four, vous la connaissez ?) et comme d'habitude je ne sais plus ce que je voulais dire ...

    Ah si ! L'Opéra Imaginaire - Lakmé, mon dieu que c'est beau  ... une découverte comme ça, c'est des frissons sur la peau, un pincement de coeur, des étincelles dans les yeux et mille merci à Gicerilla pour ça et le reste.

    LAKME opéra de Leo Delibes (1836-1891) C'est le N° 2- Duetto  qui illustre musicalement le film d'animation l'Opera Imaginaire.

    Vous aussi vous pouvez pousser la porte de son petit théâtre de la vie, à vos risques et plaisirs, vous trouverez son lien dans mes "coups de coeur".

    http://gicerilla.hautetfort.com/

    Et moi je vais bientôt pouvoir voir le film que j'ai cherché et trouvé.

  • Moment satin blanc

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    Il est arrivé ...

    Elle ne l’attendait pas,
    simplement vêtue d’un déshabillé de satin blanc.
    Sans un mot il s’avance, la porte se referme.
    Il se penche, et glisse quelques mots à son oreille.
    Elle le regarde, sans rien répondre.
    Il la prend dans ses bras, elle reste passive,
    Dans l’attente de ses désirs.
    Ses lèvres viennent se poser dans le creux de son cou.
    Détournant l’attention.
    Le satin s’écarte sur le passage de ses mains qui découvre le chemin de son
    corps.
    Les caresses se font fusionnelles.
    Elle reste le souffle court, n’osant anticiper.
    Se laissant guider simplement.
    Offerte sans arrières pensées.

    Le satin blanc a légèrement glissé.
    Sa main épouse parfaitement le galbe de son sein,
    Qu’il porte à sa bouche.
    Tellement troublant qu’elle ne peut se résoudre a fermer les yeux.
    Suivant du regard ses lèvres sur son corps,
    Égoïstement, sensible à son plaisir et non au sien.
    La bouche quittant le sein continue sa route,
    Longue descente, voluptueuse,
    Elle se permet une caresse sur sa nuque,
    Pour se rappeler à lui, le rapprocher d’elle.
    Et quand sa tête, au plus profond d’elle, disparaît
    C’est d’un cri qu’elle partage son plaisir.

    Elle a respecté ce qu'il lui avait demandé.

    Il est parti ...