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  • La baraque à frites est de nature ambiguë

    La polémique du port du kilt déchaîne visiblement quelques passions Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image… D’après certains écossais, il y aurait les traditionalistes d’un côté, qui porteraient le kilt sans culotte, dont les militaires à priori, et les autres qui trouvent inconcevable de se balader sans rien sous la jupe ! Le kiki à l’air, mais trêve de kilt, vendredi soir j’ai suivi Fiso pour une virée dans le nord, au programme deux jours de carnaval à Bailleul, les plages, et les frites (Traditionnellement les frites du Nord sont cuites au gras de bœuf), tout est dit. Un p’tit bonus pour moi, un  zot'che de carnaval et la messe (où j'ai sauvé Jésus), au retour j’ai failli être tuée par le char des pingouins (sous le char il y avait un énorme tracteur) ça c'est joué à quelques centimètres d'un cheveux merci ABS, merci Mère Mi pour le fou rire dévastateur Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image, et un accueil chaleureux, l’envie d’y revenir, il fait chaud dans le nord même quand il pleut, aller hop le topo photos comme j‘aime.

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  • Vous me l'avez bel et bien gâché ... ma solitude

    Je me suis laissé tenter, après tout ce temps, une envie, je le reconnais Meryl Streep, Robert Redford sont magnifiques d'émotions, mais dans ce film, le plus beau c'est quand même l'Afrique et le sujet bel et bien la solitude au delà de tout, c'est le livre que j'aimerais lire maintenant La Ferme africaine, un roman autobiographie de Karen Blixen.

    Exister sans témoins appréciables, c'est vivre à vide. Robert Blondin

  • Étranges états extatiques

    Dimanche avec Fiso nous nous sommes retrouvées pour, au départ, une expo, celle de David LaChapelle, à la monnaie de Paris, très visiblement nous n’étions pas les seules à y avoir pensé, trop, bien trop, de monde, l’idée fut abandonnée, provisoirement, et c’est contraintes et forcées que nous nous sommes rabattues, sur notre étude des chocolats chauds à ne pas rater. Chose faite, à La Jacobine, rue Saint André des Arts dans le 6ème, le chocolat est bon, bien qu’un peu trop sucré, à notre goût, le service est très très moyen et l’espace vitale fini par manquer pour qu’on se sente bien dans cette salle trop petite mais pourtant très belle. Par contre à ne pas rater la boutique Cacao et Chocolat 29 rue Buci dans le 6ème aussi, vendeuse charmante qui nous a fait goûté ce que nous avons acheté : du cacao au piment, c’est sublime et un rien envoûtant. Donc à venir dégustation d’un chocolat chaud par nous même avec des testeurs triés sur le volet. Il faisait beau dimanche sur Paris, froid pourtant, j’ai volé un baiser à des amoureux et je me suis glissée sous la jupe d’un garçon …

  • Une ruse pour amuser l'ennui


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    Ne pas vraiment savoir quoi dire, comme souvent, se demander pourquoi un blog et trouver très rapidement des réponses à la question, pour tout ce que je vis et ce qui reste à venir (se munir d‘un crayon pour dessiner quelques songes). De vous lire, heureux, malheureux, en peines, amoureux, gourmands, chercheurs de temps, de désirs, d’envies, enfants, libertins, jouisseurs, sincères, vulgaires, poètes, tendres, j’en passe, tellement d’humeurs et de différences, de façons de faire, de vivre, de rêver. Une vrai richesse, aux pages qui se tournent, sur des réalités que l’on ne comprend pas toujours, d’histoires vrais, de contes de fées, sans conclusions mais pas sans morales, que l’on suit à distance, attentifs le plus souvent, distraits parfois dans une confusion de flux qui s’entrecroisent sans se voir.

    J’ai été tagué, par Mitch, sans tout bien comprendre, si ce n’est que je peux tricher, il me fallait déposer la sixième photo de mon sixième dossier avant mon dernier, ou c’est l’inverse, ou le contraire, je ne sais plus, bref, (c’est bordel dans mon disque dur) en fait j’en profite pour partager mon dernier amusement (un sans conséquences), découvert grâce au blog de Mon galet doré.

    "Je m'obstine à arrêter ce temps qui fuit..." Robert Doisneau

  • Cousue entre deux oublies

    P_1_by_kubicki.jpgTrancher dans le vif de l’idée fixe, béquille, à l’instinct qui sombre, bien trop profondément, en brasse coulée, épuisée, dans un abyme peuplé de sirènes, il est déjà trop tard, quand leur chant te grise. Ci-gît, encore, bien trop de cadavres, en reliques, sous les cendres de feux qui consument sans chaleur. Fosse commune d’embryons d’espérances, qui ne peuvent durer, loin d‘être viables, qui s’avortent spontanément à la vie, incompatibilités, qui ne s’accordent qu’à un autre temps, il était une fois, peut être, en trompe-l’œil, en abuse-cœur, recroquevillés, on se plie, en mille morceaux à la nuit tombée et au matin, on se découvre froissés, quelque peu blessés, à peine.

    Illustration Jarek Kubicki

  • La clarté subite d'un éclair de chaleur tournante

    Bon il faut bien reconnaître que je ne sais plus trop quoi prendre en photo à l’assassin, reste les toilettes et la cuisine, et encore, mais ceci dit ce ne sont pas les idées qui manquent pour innover, genre ça, comme nous l’a proposé Bénédicte mais en pas pareil quand même, loin de là. En attendant j’ai hâte de voir ce que va donner l’évolution à l’Assassin. J’ai fait quelques découvertes pendant cette, encore, sympathique soirée, que pour se rafraîchir il faut lire du bleu (merci PrincesseOnLine), que je pourrais bien finir par aimer la bière (merci Fiso) et qu’influent n’est pas un cours d’eau qui se jette dans un autre cours d’eau. J’ai aussi noté que stetoscope son lien sur la page paris carnet il ne marche pas, je me suis donc rabattue sur la série Antoine, Bibi et Casimir (merci Incompréhension...). Hier soir pour ne rien oublier, j’ai noté quelques trucs sur mes pages à trucs  (qu'on peut, même sans y croire, retomber en enfance, merci Mel'O'Dye) et j’ai tenté une nouvelle expérience que je vous dépose ci-dessous après le petitopoboutsdephotos habituel.

  • Si l’on ôtait les chimères aux pommes ?

    Je ne trouve jamais les mots pour raconter, puérile sans doute mais ils ne me semblent jamais à la hauteur des moments vécus, quand après coup, je tente de les partager, parce que j’ai aimé. Avec Gicerilla et Fiso, que j‘avais très envie de réunir, on a tenté un brunch au Café du Rendez vous, une bonne, une belle adresse (réservation conseillée), comme cette après midi, entre gourmandises, découvertes, confidences, rires :
    - C’est quoi votre prénom ?
    - Je porte bonheur !
    - Trèfle ?
    - Fer à cheval ?
    - Non, on m’accroche pour s’embrasser dessous !
    - Guy !
    - On vous sus … pend à Noël !
    - … °_O
    - J’ai eu peur !
    (j’ai un peu de mal a retranscrire l’échange complètement barré et surréaliste sur l‘instant)
    Finalement Guy n’a pas eu si peur que ça et c’est un réel bonheur que d’avoir des serveurs aussi aimables, ça change des mal embouchés.
    Et le froid qui coupe les pieds et les oreilles « mais je n’ai pas froid au cul », un mini zizi sur un mur, un lion sans langue et un autre la queue en l’air, un patineur bricoleur, ravi d’expliquer à deux curieuses le principe de ses freins « maison » non le brevet n’est pas déposé. Aller hop le petittopoboutsdephotos, qui se passe de mots.

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