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La vie n'est pas un grand fleuve pavé de petits cailloux tranquilles et pourtant l'intention y était, je me demande si ce n'est pas le début d'une nouvelle série, moins difficile que Gabriel et ouvrant la porte à de multiples possibilités ou pas d'ailleurs, va savoir.Catégories : Instants figés 20 commentaires
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Au pays de Luz
Un vrai gentil, un tout pareil, un doux barré (en ce moment il collectionne les décolletés) un sincère, un timide, et un sourire ... je ne vous en parle même pas, il ferait fondre la banquise, alors forcément moi, je l'ai trouvé craquant avec ses cheveux blancs (c'est pour la rime ma poule ) Aller Luz, je sais que les coups de projecteurs sur toi ce n'est pas ton trip mais il faut bien qu'on marque le coup, alors une petite mosaïque de ce week end avec en première page notre déjeuner, en attendant le suivant, avec d'autres, pourquoi pas ? sinon temps pourri c'est bien la peine de faire autant de kilomètres, là par contre ça me fait râler sévère.
* recette gentillement piquée au patron du resto75 cl de rhum soit 2/3 ambré et 1/3 de blanc25 cl de sucre de canne6 bâtons de cannelle (ca marche aussi avec 3 bâtons de vanille)laisser reposer quelques mois et déguster avec modérationCatégories : Lu, vu, entendu 25 commentaires -
Les Feuillus sur Marne
Quand j'ai réalisé que je serais absente le week end du festival de l'Oh, mon sang n'a fait qu'un tour, damned ! (me suis je écriée dans le fond de mon fort intérieur), je serais ailleurs. Je dois reconnaître qu'il m'aurait été agréable de voir ce beau bébé, quoi qu'il en soit quand on m'a parlé des Feuillus, j'ai regardé autour de moi, constaté un enthousiasme, débordant, de joie, mais finalement, je m'y suis rendue (tomtom me criant "tournez à gauche - tournez à gauche" "A GAUCHE !!!!" alors que sur l'écran, la flèche, elle tournait à droite ...) vous l'aurez compris, damned !! (me suis je écriée dans les profondeurs de mon fort très intérieur) je me suis égarée. Pas de panique, j'ai fini par trouver, je me suis régalée, je partage, oui oui je sais, j'ai bon coeur.Ces silhouettes sur les bords de la Marne, flottants, grimpants, un peu partout, c'est un peu surréaliste et j'ai vraiment aimé l'idée.PS : Je précise également, que je serais absente, quelques jours, et oui c'est fou (je vous laisse tranquille), je serais sur Albi, mais je fais un passage sur Toulouse et ses environs et demain vendredi à 12 h, vous pourrezm'envier, me jalouser et même me détesterm'imaginer, à une table, sur une chaise (enfin j'espère) en très bonne compagnie, je devrais pouvoir le reconnaître il ressemble à ça, je déjeune avec un bel oeil vert, ... Luz, promis je ramène une photo de ses pieds, pour la collection.Ca me fait penser que j'ai oublié de faire une photo des chaussons dimanche, damned ! ... mais pourquoi je m'affole ? c'était pas mon idée cette photo de pieds d'abord, et puis je n'étais pas prévenue, je n'ai pas le pied photogénique et les ongles pas vernis et je n'étais pas préparée psychologiquement et ... damned !!! ok je vais bosser et j'arrête de m'agiter, pour rien !Catégories : Lu, vu, entendu 22 commentaires -
Menues allégresses
Je réalise ce matin, devant l’écran blanc que je suis plutôt dans une phase « images », genre le choc des photos, enfin petits les chocs évidemment, je ne voudrais pas vous faire de mal, loin de moi une telle idée mais je ne voudrais pas vous gonfler, non plus, dilemme, dilemme, j’ai donc pensé ouvrir un album puis non, puis oui, puis non, me suis prise la tête, j’ai secoué, laissé reposer, aspirine pour finir, je suis peu de chose, galère de galère, j’attrape les pagaies. A coté de ça, je pourrais combiner des petits riens, comme la découverte de Moriarty, rapport à l’une des dernières notes d' Improbable, alors je confirme j’aime, avec réserve et je connaissais celle-ci :
Et pendant que j’écoutais cette chanson, hier, je regardais Cahier de brouillon, association incroyable et improbable, c’était sublime. Et de me dire, là encore, que les différences peuvent être sources de vrais et grands plaisirs, aussi aléatoire que cela puisse être, au départ. Comme de lire Sel et poivre, Parfum de vie chez Un peu moins que quelques briBes, c’est comme le grain de sel sur le foie gras ou la cannelle sur la pastilla, fantastique.
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Sur le vif
1 = Après Buren, pigeon
2 = Avec lui et pas un autre
3 = La pastilla, merci Waid pour le conseil aux saveurs sublimes
4 = 23 m², 4ème étage, mais au milieu coule une rivière
5 = Jackie Chan et Jet Li, Le royaume interdit
6 = Jaune safran, je confirme et je signe
7 = Deuxcraneshommes adorables, Oh!91 et Seiji
8 =Une mainSeiji aux fourneaux
9 = Si c'est pas de la provocation ça ...
10 = Poulet Sauce crémée, bière, champignons, asperges, façon Seiji (mérite 2voies lactées** étoiles, pas moins)
11 = Tarte aux framboise (c'est de saison)
12 = Rien, il me fallait une 12ème photo.Catégories : Instants figés 22 commentaires -
Réalités
Et tu pleures, la réalité d'un toi que tu veux nier.
Tu gommes ton existence, ombrée d’hésitations. Tu te hais, je me déteste et tu fermes les yeux pour ne pas voir, ce que tu refuses, d’apercevoir, chaque jour, qui commence, sur le rejet de ce soi, de ce être qui ne peut naître, que tu ne reconnais pas. Tu te façonnes à tes doutes, qui s’effarouchent à ces autres que toi. En résonances, face à ces échos qui t’esquissent dans le noir de tes heures, qui se croisent et se déplient, par chemins de tes riens, que tu souffles en voluptes acides, des détresses, en avis de tempêtes, en haut-le-cœur, qui te terrassent et se convulsent, à la nuit qui se fige et se brise, sur un matin, sans rêves, arrachés, dans un cri qui n’en fini plus de mourir, dans le fin fond de ta tête et qui te camisole, définitivement.Catégories : Les pensées crocodiles 12 commentaires -
Sous la surface
On a replanté le muguet du 1er mai et les pneus dont personne ne veut ...
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L'effet "Icare"
Et là pour le coup j’ignore comment enchaîner, beaucoup de choses à dire et rien, au final, j’ai les idées mais pas l’impression de pouvoir les exprimer correctement, à coté de ça, je n'ai jamais pris la peine de vous offrir du correct, mais plutôt du comme c’est venu, et on fait le tri ensuite, alors c'est parti ... L‘exposition, il y avait évidemment un avis à donner sur ce « Prenez soin de vous » cette fameuse lettre de rupture, qui a été interprétée sous tous les angles, analysée, jouée, chantée, dansée, comme dit précédemment je n’ai pas accordé à Sophie Calle toute l’attention nécessaire et tant mieux, je me souviens surtout de celle de la petite fille qu’une dizaine d’année qui exprime son étonnement quand au fait que l’homme semble aimer la personne avec qui il veut rompre, elle se demande alors pourquoi le faire. Je l’ai moi aussi, au fond de mes archives, ce mail, de rupture, cet équivalent, cette épine dans mon histoire, ces mots qu’on analyse, encore et encore, en essayant de comprendre, ça n’avance à rien, au contraire, malgré tout, il est toujours là, jamais supprimé et surtout jamais partagé avec d‘autres que moi. Je m’interroge aussi beaucoup sur mon erreur, ce jugement à l’emporte pièce que je m’étais permise d’émettre, sans savoir, sans connaître, sans presque un doute, et cause à effet de me dire que je dois me planter par ailleurs, en inversement proportionnel, que j’ai l’impression de croire en ce qui est finalement faux, il va bien falloir que je me fasse une raison, un jour, ça et la solitude qu'on se prend en pleine gueule, parfois. Oui je sais je casse l’ambiance, mais bon je partage mes états d’âmes, comme d’habitude, certaines choses ne changent pas elles. Sinon je vais bien, je me suis offerte deux paires de chaussures aujourd’hui, et je suis ravie de mon nouvel ordi au bureau, il dépote et ça va me permettre de surfer à la vitesse de la lumière, sinon je bosse, aussi, un peu, j’ai un métier, de temps en temps.
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