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Echos à Vous - Page 4

  • Qu'importe ? Au fond de l'Inconnu

    15/11/2009 22:39

    Je viens de me faire taguer par Dana qui m'a offert un prix :

    appreciation awards.jpg

    18/11/2009 10:00

    J'ai récupéré l'image, c'est kitch, ça brille ...

    Il y a sept règles :

    - remercier l'ami blogueur.
    - copier l'image et la montrer sur son blog.
    - mettre le donneur en lien.
    - raconter sept choses inconnues sur soi-même.
    - offrir, à son tour, le prix à sept blogueurs.
    - ajouter leur lien.
    - et les informer.

    11:12

    Les règles on sait ce que c'est, le mieux c'est de les détourner, voir de les ignorer. (A l'heure où j'écris ce brouillon de note, j'ignore encore ce que je vais en faire). Sept choses inconnues c'est énorme, faire le choix de rester dans un futile facile incompréhensible, ou au contraire sauter violemment et des deux pieds sur l'occasion et parler de choses importantes, qu'on garde cachées, plus ou moins, par peur, peur de quoi ... je ne le sais pas et c'est peut être justement l'occasion, va savoir. Je vais déjà trouver un titre, un tag et on verra ensuite pour la suite.

    11:32

    En me relisant, je me dis que peut être je pourrais envoyer le début sans la fin, et attendre sans faire de choix, ou mieux me laisser influencer par ce qu'on pourrait m'en dire et ne plus avoir, ainsi, à choisir. "Puisque je ne suis pas capable de choisir, je prends le choix d'autrui."  Ecrivait Montaigne.

    12:00

    Je n'ai pas sept choses inconnues à écrire, l'occasion n'était peut être finalement qu'une fausse impression et cela pourrait clore ce débat avec moi même.

    17:28

    Finalement j'ai fini par en trouver sept.

    1)      J'ai rarement pleuré dans ma vie et j'ai un paquet de larmes en réserve, des millions de litres qui ne demandent qu'à sortir.

    2)      Quand je mens j'ai un sourire automatique, même dans des situations pouvant être dramatiques.

    3)      Pendant des années j'ai été accro aux romans Arlequins.

    4)      J'ai une maladie rare, orpheline, je suis en « souffrance » 10 sur 10, 24 heures sur 24, j'ai appris à faire semblant, on ne se doute de rien, les hôpitaux, les essais médicamenteux, je suis épuisée, tellement fatiguée, et vivante.

    5)      Je vois une psychologue depuis le 06 novembre 2009 et je lis, sans le comprendre, le livre de Didier Anzieu, « Le moi-peau »    uniquement pour le titre.

    6)      J'ai souvent été amoureuse mais je n'ai jamais aimé, les hommes de ma vie sont systématiquement des amours impossibles.

    7)      Ça fait plus de trois ans que je n'ai pas nettoyé ma voiture.

    Et pour une fois, exceptionnellement, je ne refile à personne la patate bouillante.

     

  • Cosmos et la somnolance Pétrifiée

    manja_lee.jpgLa texture des mots, « Inassouvie, la vie, puisqu'il nous manque toujours quelqu'un ou quelque chose. Inassouvie, nous survivons; Inconsolables, nous demeurons, nous les humains, les inassouvis. » Fatou Diome. Coups de cœur, dans la peau d'un homme, parfum de lune, air du temps. Laisser une trace, plus que jamais, sur les pistes d'un rêve, on oublie le souffle, le secret d'un regard, mon premier amour. Magicien des sens, vous êtes Unique, l'irrésistible, rire, tous ses éclats, pour ne pas pleurer. Plein la tête, il était une fois, à l'auriculaire droit, une chevalière où est incrustée le titre de la tragédie de corneille. Je t'aime du bout des doigts, de sable et d'eau, de la fusion à la désillusion, ensemble au grés des courants. RARE est trop singulier pour se mettre au pluriel mais le pouvoir de séduction de ce mot « solitaire » est si fort ... Elle peut s'en inspirer. « Il me dit : tu es là. Il me prit la main mais il se tourmenta encore. » Le Petit Prince de Saint Exupéry. La pale lumière givrante a repeint la forêt en camaïeu gris-argenté pour le tisseur de rêves en soie primitive, qui s'active, doux et généreux.

     

    Illustration Minjae Lee

  • Arc de l'horizon compris

    sphere.gifJe m'éparpille, azimut, ça fuse, et le boulot s'entasse. Une chaine "Il s'agit de raconter sa première fois. Enfin, tu vois ce que je veux dire". Oh!91 C'est une vrai colle que de me demander d'en parler, alors l'écrire, cela a si peu marqué ma vie, mon corps et mon cœur que c'est à peine si j'arrive à m'en souvenir, 17 ans, je crois, un été, l'Ile d'Oléron, une voiture, un homme, plus vieux, déjà (private joke) et rien, ça n'a pas cassé trois pattes à ma virginité, que je n'ai plus eu, du coup. Mais depuis il y a eu plein de premières fois, avec l'amour, avec les sens, avec la jouissance, des découvertes, des révélations, des frustrations, des évidences et un enfant. Bon, ceci étant dit, tant bien que mal, je m'éclate sur Spotify, merci P_o_L et Deftones75 sans qui cela ne serait pas possible, rapport à mon gène de blonde. Je m'éclate moins sur Adopte un mec (merci à ma copine adorée pour le cadeau empoissonné, je crois que c'est le mot "lécher" qui pose un problème) c'est à la fois fascinant et frustrant, bon j'ai bien un mec dans mon panier mais c'est le Bruno alors forcément je vais le revendre, encore, et il y a des « oui » qui font super plaisir, aussi, promis pour ça t'auras le périph de nuit dans les deux sens (re private joke). Pour finir, faut que je revienne sur ce tag, la première fois, j'ai toujours un malin plaisir à refiler la patate chaude, mais le sujet du jour étant un peu particulier j'hésite, un bref instant, mais pas trop quand même, je vais faire une pierre deux coups et choisir les petits nouveaux de ma liste de liens, ceux que j'ai beaucoup de plaisir à découvrir ces derniers jours,  Cessey HémèreDandy Candy, Histoires de rien et Placide et lucide, et pour son insolent "dommage "  alex Cessif. Evidemment, comme d'habitude avec l'option « NON ça ne va pas être possible » (gentil et compréhensif, rapport à ma sensibilité, que j'ai énorme, merci).

     

  • Qu'un peu d'odeur et les mains vides

    IMG_2122.JPGA se dire, éplucher, quelques gémissements, je t'aime, un peu, beaucoup, à peine, fulgurant. Les germes en chapelet, égrainent, mots à mots et perlent nos accords iridescents, à nos corps irisés. Nus de nous, autres, différents, autrement, à la force du temps, résistance, l'âme éclaboussée de rêves en aparté, soliloques, à tord, de travers. Pudiquement, sans pardon, d'un rien, les battements ébrouent, martèlent, les nuits en misères, quand le regard se perd à chercher l'histoire, dans un songe éphémère.

     

  • Brocante et vide panier

    ad1bdef02d0721c7b4720e0d87c0e4f8.jpg

    Il va bien finir comme ça. Ce grand machin d'un mètre quatre vingt huit (pas sur qu'il entre dans la machine), je vous serais très très reconnaissante, énormément, beaucoup, de bien vouloir faire un geste, un truc, je ne sais pas moi, afin que celui-ci arrête de chouigner dans ma boite mail, en constatant qu'il n'y a plus de commentaires sur son annonce, que même soldé, bradé, offert, personne ne veut de lui. J'ai beau lui expliquer que c'est ainsi, que c'est la vie, que ce n'est pas ici qu'il trouvera la femme de sa vie, il insiste (et ça l'amuse). Pour rappel son adresse mail : gillian9295@hotmail.com

    Montage photo site digital photo effects

  • Quelques millions de femmes célibataires.

    Sous le signe de l'amitié, de la complicité, de confidences en amusements, me voila entremetteuse, vendeuse, curieuse.

    Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image

     

    nains.jpgEn cadeau vous recevrez également ce magnifique jeu de quilles nains de jardin, des heures de plaisir pour votre premier rendez-vous avec l'objet.

     

     

     

     

    ps : contrôle technique OK, carnet de santé consultable sur rendez-vous, téléphone et adresse mail sur demande.

  • Se nourrissant de substances amidonnées

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    Quelques jours pour être heureux, une parenthèse, irréelle, sans vraiment y croire, partir, sans te suivre, dire oui, mais si, plantée là, accrochée, bien loin. Entre ce que l'on veut, ce que l'on peut, ce que l'on souhaite et qu'on refuse, parce que. On se brouillonne d'envies irréfléchies, d'esquisses à peine envisagées, trop vite effacées d'un coup de rien, à la prudence fidèle d'une solitude familière, qu'on adopte le menton dressé, sourires à la bouche, les peines sur le bout de la langue, conquérant du vide, insolence d'un choix à la sauvage, à l'arrache, un peu mal, fatalement. Va y rit, ça ne peut qu'être mieux, le reste se tait ou ne se laisse deviner que sur la pointe de quelques silences, ou fugitives pensées, teintées de grisailles, de jours passes murailles, troublées de souvenirs, confondues d'un futur intérieur.