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Echos à Vous - Page 8

  • Une chance au grattage, un bonus au tirage

    Il est beau, il est fort, il est bien gravé, il a deux papas, ce n’est pas courant (gourmande), il a été souhaité et désiré au-delà de tout, avec une envie, un courage et une détermination que j’admire. C’est sûrement avec émoi qu’elle a tenue dans ses bras, ce premier enfant, qu’elle espérait tant, j’aimerais beaucoup qu’il puisse lui apporter les joies les plus nombreuses qui feront d’elle une chanteuse heureuse, une femme comblée.

    Moi j’aime, j’aime vraiment ce nouveau né et c’est avec plaisir (non dissimulé) que je me propose de le partager avec l’un ou l’une d’entre vous, j’ai cherché un moyen et finalement un jeu, oui mais comment et sur quoi ? (après plusieurs idées géniales mais un rien compliquées, merci Chaton) j’ai trouvé, je vais vous poser une question, la réponse se trouve sur le blog de Sandrine Cabadi dans une note.

    Ca vous semble simple ? Oh mais non car il y a un piège. Je voudrais que vous répondiez de la façon suivante :

    un commentaire sur le blog constitué de 4 lignes de rimes en « ule »

    la réponse à la question par mail (donc juste pour moi)

    Vous suivez toujours ? (visiblement non Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image ) Tant mieux pis. Au premier qui me donnera la réponse j’enverrais le CD, quand aux lignes en « ule » c’est une autre histoire …

    La question est :

    Quelle est la marque et le poids du piano de Sandrine Cabadi ?

    Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image

    Un inédit, juste pour moi, nous (*c'est une chanson encore en 
    chantier : c'est beaucoup de travail)

    Si l'or s'occide
    podcast

  • Une nuée de ténébrions

    Image hébergée gratuitement chez www.imagehotel.net hébergement de photos et d'image Extravagant, puiser au milieu de la nuit, une souffrance inconnue qui se décline à la torture de sa peine, qui n’est pas la mienne et pourtant le mal de ce tourment, déraisonnable, saute à pieds joints dans mon capricieux délire. Le bouffon des étoiles, fou dément, se toque d’un désir, en crève cœur, à la mort pour une vie singulière, délicatement enchaînée à un désir avide, damnation d’une désolation sanglotante, que l’on déchire, en offrande aux ténèbres voyeuses, que l’on brûle à l’obscurité dans un feu d‘utopies fantaisistes, que l’on brise d’illusions en étincelles, petites chimères, minuscules hallucinations qui se leurrent à la tendresse de mirages et de songes en trompe-l’œil. Se bercer de visions que l’on entasse en contre jour dans un coin, que l’on numérote, à contre temps, de mots éphémères, de quelques lumières et d’images fugaces, instants mouvants, émouvants, où l’on s’enfonce profondément, l’air de rien, mine de rien, de loin. Et l’on s’agite ambigus, hésitants, inconstants, en regardant, un soir, dans le noir, un saltimbanque apprivoiser ses fantômes, revenants.


    podcast

  • Le plus secret de tous les vices

     

    squarewt.jpg« Il n'y a de réalité que lorsque l'imaginaire ne nous apparait plus. »A. Et toc, dans les dents, entre la réalité et l’imaginaire mon cœur balance, le jeu savoureux des mots à demi-mot, qui se laissent deviner mais uniquement les yeux fermés, restant à couvert d’une moralité de bon ton, le choix est il le bon ? à ma préférence, j’ai le désir qui s’émoustille, c’est futile, mais comme il est écrit, certaines choses ne changent pas, sont difficiles, voir impossibles, la prise de risques est inutile, et pourtant reste le temps, facteur important quand certains songes taquins se mettent à sourire en coin. Alors ? la réalité est elle plus belle que l’imaginaire ? Vaut-il mieux une réalité fragile plutôt qu'un rêve qui habille la nuit et que je te raconte au matin, l’air de rien ?

  • Episode qui constitue une unité temporelle

    Image hébergée par servimg.com

    Laisser couler les mots, éclaboussés de ponctuation à la sauvage, sur un temps qui se voudrait raccord à l’envie, de se dire, se raconter, se cacher, que d‘un œil, et ouvrir son cœur pour voir et encore et encore se gaver d'intimes, déclarations exhibitionnistes. Se dire c’est fini, j’ai tout vu, tout lu, tout entendu, j’ai l’écho qui se fissure, qui se brise en minuscules soupirs, qui rament à vivre, à la dérive de son souffle. J’ai été vaincue, je n’en ai rien à battre, c’est trop tard, à peine mal, et pourtant, encore et toujours, se surprendre autrement, sur des instants en réanimation, qui se ressemblent différents et qui se griffent d’un coup à vif, même émoussé d’une fatigue, qui s’épuise, au creux de la nuit, qui s’entortille sur une solitude claustrophobe, équilibriste à un désir qui se hurle, en silence, tais-toi ! donc, que je puisse t’imaginer en surbrillance.

  • Un brouillon de demain

    Image hébergée par servimg.com   C'est quoi un nouveau jour qui se lève ?

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    Ce n’est rien, il ne faut pas y prendre garde, faut l’ignorer et le laisser dans son coin, faire comme toi, ne pas lui fixer de limites dans des heures qui se greffent d’un jour, qui s’obligent d’un matin. Il n’y a rien de nouveau c’est hier qui s’étire à l’infini et qui parfois se déchire sur l’espoir d’un inédit, sur la pensée avortée de désirs, qu’on n’arrive même pas à écrire et encore moins à vivre. On grimpe aux rideaux des mensonges qui se tissent, entre érotisme sous microscope et sentiments en camisole qui s’isolent, de peur. Le jour est assassin et il y a plein de témoins, qui ne voient rien. Pourtant, c’est beaucoup, c’est le caprice d’envisager que tout est possible. Se projeter sur le devenir, se vouloir et pouvoir un peu, avec force, avec rage, même en larmes, se battre, résister ou au contraire, enfin se laisser aller à des possibles même avec contraintes. C’est demain qui s’anticipe, fragile, sur l’espoir d’une renaissance, on n’arrive toujours pas à l’écrire mais on veut le vivre.

  • P123, 4L, 5E



     

     

    magnetophone.jpgVotre mission, Madame Bougrenette, si vous décidez de l'accepter, sera de récupérer dans votre livre du moment, à la page 123,  4 lignes à partir de la ligne 5.  Comme toujours, si vous ou l'un de vos lecteurs-joueurs étiez capturés, torturés, dépecés, tués ou mangés, Noée nierait avoir eu connaissance de vos agissements. Cet ordre de mission s'autodétruira dans cinq secondes.

     

    "... cheminer dans ses allées à la manière d'un géant explorant le pays des Lilliputiens.
    Fric s'y trouvait en plein coeur.
    Il avait réparti des armées de soldats à travers ce territoire, et jouait à la fois au petit train et à la guerre."

     
    koontz.jpg J'aime les histoires d'ange, surtout les faux, les fabriqués, les fabulés, les inventés, ceux qui se découvrent un matin des ailes dans le dos, mais qui se font du mal à trop vouloir voler, ou trop haut, ou trop beau, les anges abimés, épuisés, usés d'avoir trop rêvé, aux creux des nuits qui s'étirent. Mais l’ange reste sans visage, heureusement, finalement, juste une substance, une essence, précieuse, un parfum subtile que l’on devine, à peine, une présence qui se dévoile, dans un souffle contre sa joue et qui disparaît à la fin de la nuit. On se surprend soudain à l'effleurer d’une caresse, à plonger dans l’ivresse d’une pensée, insensée, tout doucement, on la serre contre son cœur avant de la couvrir d’un désir, tout juste envisagé, à peine fantasmé. Juste un plaisir à en frémir, pour mieux dormir, et dans un soupir, s’éteindre dans son étreinte. Une recherche de tendresse, à l’emporte pièce, ça fait du bien, comme ça fait mal, fatal. Et on s’accroche, pour rien, cherchant en vain. Posant des mots et des images, volages, sans reflets à des histoires, fugaces, qui laissent pas de traces. Il ne faut pas que ça casse. Et les anges tout autour.

  • Moi et la chanson Française

    C'est bien connu, je n'ai aucune culture musicale, et du coup je me gave de tout ce que l'on peut partager avec moi, j'aime ou pas, mais je prends un délicieux plaisir à découvrir une chanson, un artiste, "dis moi ce que tu aimes, je te dirais qui tu es", c'est un peu l'idée générale, j'en connais même qui communique comme ça. J'ai longtemps séché sur la première question, je n'ai finalement pas beaucoup, voir pas, de souvenirs d'enfance, alors une chanson ... par contre je passais des heures à écouter des histoires sur le tourne-disques, j'en avais cinq ou six, elles tournaient en boucle :

    podcast 

    J'écoutais les yeux fermés, je le fais encore pour celle ci et pour Titane et Bougrenette (merci chaton pour ce fantastique cadeau)

    Donc pour en revenir à mon mouton, j'ai été tagué, par Virginie Bichet, la reine de la couleur, ça ne pouvait que me plaire, alors je me lance, tant bien que mal.

    1 - Quelle est la chanson française qui t'évoque ton enfance ?

    Je confirme, et après avoir retourner la question dans tous les sens, je vais choisir celle ci

     

    Mais je reconnais que cette version techno ne me botte pas plus que ça

    2 - Quels sont ta chanteuse et ton chanteur préférés ?

    Alors là c'est super aléatoire, alors je vais considérer que c'est préférés mais en ce moment, car c'est comme tout, les préférés, ça va, ça vient, selon les envies, l'humeur, le temps, la pression atmosphérique et la température de l'eau, chez les femmes, j'écoute beaucoup, Barbara Carlotti et Fred pour les hommes (merci à ma jolie Fée pour ça)

    3 - De quelle chanson de variété aurais tu aimé être l'auteur ?

    Du plus loin, que me revienne,
    L'ombre de mes amours anciennes,
    Du plus loin, du premier rendez-vous,
    Du temps des premières peines,
    Lors, j'avais quinze ans, à peine,
    Cœur tout blanc, et griffes aux genoux,
    Que ce furent, j'étais précoce,
    De tendres amours de gosse,
    Ou les morsures d'un amour fou,
    Du plus loin qu'il m'en souvienne,
    Si depuis, j'ai dit "je t'aime",
    Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,

    C'est vrai, je ne fus pas sage,
    Et j'ai tourné bien des pages,
    Sans les lire, blanches, et puis rien dessus,
    C'est vrai, je ne fus pas sage,
    Et mes guerriers de passage,
    A peine vus, déjà disparus,
    Mais à travers leur visage,
    C'était déjà votre image,
    C'était vous déjà et le cœur nu,
    Je refaisais mes bagages,
    Et poursuivais mon mirage,
    Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,

    Sur la longue route,
    Qui menait vers vous,
    Sur la longue route,
    J'allais le cœur fou,
    Le vent de décembre,
    Me gelait au cou,
    Qu'importait décembre,
    Si c'était pour vous,

    Elle fut longue la route,
    Mais je l'ai faite, la route,
    Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
    Et je ne suis pas parjure,
    Si ce soir, je vous jure,
    Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
    Il en eut fallu bien d'autres,
    Que quelques mauvais apôtres,
    Que l'hiver ou la neige à mon cou,
    Pour que je perde patience,
    Et j'ai calmé ma violence,
    Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,

    Les temps d'hiver et d'automne,
    De nuit, de jour, et personne,
    Vous n'étiez jamais au rendez-vous,
    Et de vous, perdant courage,
    Soudain, me prenait la rage,
    Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
    Que le Diable vous emporte,
    D'autres m'ont ouvert leur porte,
    Heureuse, je m'en allais loin de vous,
    Oui, je vous fus infidèle,
    Mais vous revenais quand même,
    Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous,

    J'ai pleuré mes larmes,
    Mais qu'il me fut doux,
    Oh, qu'il me fut doux,
    Ce premier sourire de vous,
    Et pour une larme,
    Qui venait de vous,
    J'ai pleuré d'amour,
    Vous souvenez-vous ?

    Ce fut, un soir, en septembre,
    Vous étiez venus m'attendre,
    Ici même, vous en souvenez-vous ?
    A vous regarder sourire,
    A vous aimer, sans rien dire,
    C'est là que j'ai compris, tout à coup,
    J'avais fini mon voyage,
    Et j'ai posé mes bagages,
    Vous étiez venus au rendez-vous,
    Qu'importe ce qu'on peut en dire,
    Je tenais à vous le dire,
    Ce soir je vous remercie de vous,
    Qu'importe ce qu'on peut en dire,
    Je suis venue pour vous dire,
    Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...

    Paroles et musique Barbara 1966

    4 - Quel est aujourd'hui l'air que tu fredonnes ?

     

    Découvrez Chantre!
    5 - Quel est ton meilleur souvenir de concert (français) ?

    william.jpgLes concerts ne n'est pas vraiment ma tasse de thé (d'ailleurs, j'aime pas le thé) mais j'ai un souvenir, un grand, un beau, un qui brille, j'ai été voir Sheller en solitaire, lui et son piano, et je ne l'ai jamais regretté. 

     

     

      

     

    6 - Quels chanteurs ou chanteuses représentent le mieux la France ?

    Je l'ignore ... mais en posant la question autour de moi, de réponses en éclats de souvenirs qui a fini en fou rire, j'ai trouvé ça

     
    Ca pique ... j'adore
    bon bah voila j'ai fini, enfin presque, faut renvoyer la patate chaude maintenant, et pour cette fois, je laisse tomber le hasard, et je vais viser 
     

    Ibidnorio

    Les écrits du Macaron

    PhilOpenSpace

    Quelle chose étrange, que la vie

    Un jour la lumière

    Sandrine Cabadi
     
  • S.P.T.

    Soit Société Protectrice des Tagueurs, moi je l'avoue sans honte aucune, avec un plaisir réel, j'aime bien, c'est facile, ludique, ça ne mange pas de pain, ça ne fait aucun mal à la couche d'ozone, ça fait plisser le nez aux coincés du bulbe et soupirer les mals embouchés, j'adore. 

    Évidemment le coté casse bonbons, ce sont ces règles qu'il faut remettre, donc je m'y colle, ci-dessous et après on passe à autre chose :

    - le lien du chevalier du tag, mon tagueur Lancelot qu'on retrouve sur Boat on the sea
    - mettre le règlement (évidemment)
    - répondre aux questions (forcément)
    - taguer en retour six blogueurs (et là j’ai envie de tenter autre chose, une espèce de jeu de hasard)
    - avertir ces mêmes blogueurs via leur blog

    Donc six questions que voici :

    1) Un aliment ou produit que je n’aime pas du tout
    2) Mes trois aliments favoris
    3) Ma recette favorite
    4) Ma boisson de prédilection
    5) Le plat que je rêve de réaliser et que je n’ai toujours pas fait
    6) Mon meilleur souvenir culinaire

    Image hébergée par servimg.com

    et oui forcément les réponses en image.
     
    Et j'aimerais qu'en retour les six sept blogueurs suivants se prêtent au jeu, ou non d'ailleurs, c'est comme chacun veut, peut, ainsi soit-il, je vais les choisir sur Blog-It Express plus ou moins par hasard des inconnus et d'autres, curieuse de voir comment ils pourraient "traiter" ce jeu :
     

    Carnet de Noée

    Virginie Bichet

    Tribulations

    Crazy Mitch

    Cahier de brouillon

    Drôle de princesse

    et voila six personnes, et un brin frustrée j'aurais bien tagué Mr  Waid and see qui j'en suis convaincue, aurait pu tirer de ces questions de nourriture un tout autre festin !