
Pour la petite histoire, dans un autre lieu, une autre dimension, nous jouons avec des mots qu'on s'impose pour faire jouer notre imagination, les styles sont différents, découvrir ce que les autres ont pu écrire est toujours un plaisir et c'est un exercice que j'aime particulièrement ( 'Francouas peut en témoigner). Ce jour là, c'est le canard 'Guy , pour ne pas le nommer qui a trouver les mots (j'ignore encore où) ce ne fut pas simple, bref, voici les mots si le coeur vous en dit (si il le dit, écoutez le, et la raison vous la mettez de coté un moment) tout est permis, ici ou sur vos blogs suffit juste de le dire.
Le hareng mesurait vingt cinq centimètres
couvercle
dynastie
tournevis
gobelet d'huile
amphore
termite
oreille trouée
herbe verte
lune
bulletin de vote
Je dois vous laisser, les filles arrivent,
Elle m’apportent mon nouveau gilet,
Celui qui me tient bien serré
Et dans lequel je ne peux plus bouger,
Entre mes quatre murs capitonnés.
A mon Amour, A ma Passion, A la Folie.
Elles m’ont laissé là
Entre mes murs capitonnés.
Allongée sur le lit de fer blanc.
Et pour unique fenêtre
Le trou dans ma tête.
Je veux de la lumière,
Faut que j’aille traire,
La coccinelle sur la ficelle.
J’en tirerais bien un gobelet d’huile.
Mais si je vous l’assure !
Le hareng mesurait vingt cinq centimètres
Presque une baleine,
J’en ai vu une l’année dernière,
Elle dansait dans l’herbe verte.
Et moi je criais, je criais : TERMITE !
A la lune, jamais elle ne m’a entendu.
J’étais pourtant sure,
Qu’en soulevant le couvercle
De mon oreille trouée,
Avec le tournevis,
J’arriverais a trouver
Le bulletin de vote, que j’y avais caché.
Au secours !, qu’elle a hurlé,
Celle qui est venue.
C’est pas Dallas c’est Dynastie,
Faut changer de chaîne, où est l’amphore ?
Complètement folle celle-ci,
Une nouvelle, j’ai jamais compris
Pourquoi on m’avait enfermé ici.