 "Dis-moi que ..."
 "Dis-moi que ..."
 Non, il n’est pas fou d’aimer ainsi, même si la folie est indispensable à cet amour, troubles et émotions étroitement serrés autour d’un cœur qui bat, déraisonnable et pourtant qu’il est doux d’être vivant, encore et encore. Mériter la douceur d’une consolation, la tendresse, pour sécher les larmes, apaiser la douleur. Rien n’est vain. S’éprendre d’une ombre, d’un fantôme, de quelques instants volés à la destinée n’est pas dérisoire, s’émouvoir d’esquisses d’un autre qu’on imagine plus qu’on ne vit n’est en rien insignifiant. On n’aime pas plus ni moins, on s’aime autrement, tout simplement.

 Et voila, 14 h et quelques,  je me lève à peine, la tête pleine d’un hier, de musiques, de gourmandises, et surtout d’amitiés, bordées de rires et de complicités, je me penche sur les photos. Il y a eu les pannes de portables, les services limités, les vous êtes où, cherchez le parapluie bordeau ou
Et voila, 14 h et quelques,  je me lève à peine, la tête pleine d’un hier, de musiques, de gourmandises, et surtout d’amitiés, bordées de rires et de complicités, je me penche sur les photos. Il y a eu les pannes de portables, les services limités, les vous êtes où, cherchez le parapluie bordeau ou  

 1/ Ne pas m’engluer dans des règles à la con. 2/ Trouver un cadeau sympa pour le (la) gagnant(e). 3/ Que les choses soient claires, nettes, précises ! 4/ Et toi qui lis, si tu ne comprends rien ou peu, c’est que tu as finalement tout compris. 5/ Quand
1/ Ne pas m’engluer dans des règles à la con. 2/ Trouver un cadeau sympa pour le (la) gagnant(e). 3/ Que les choses soient claires, nettes, précises ! 4/ Et toi qui lis, si tu ne comprends rien ou peu, c’est que tu as finalement tout compris. 5/ Quand  

 Apprivoiser les inconstances pour s’apaiser aux silences, cruelles inconsciences, de ce qui touche, au plus profond d’un chagrin qui s’englue d’un temps au rabais, d’un pourcentage en plus, d’une promotion de fin de saison, se piétiner les envies aux humeurs capricieuses de quelques larmes, versatiles. S’égratigner le quotidien banal d’histoires à paillettes, de fantasmes en morceaux, rafistolés à coup de fantaisies, puériles, hors d’âge, au fond d’une cave à soupirs, frustrés d’avoir été trop rêvés, spoliés d’une réalité, simplement imaginée, qui ne dure que le temps de l’envisager, sur un fil qui se tisse, fragile. Les mots hurlent, tempérance, des pensées ainsi couchées, d’analyses, de profils acérés d’avoir été étudiés, à vif, sur des vides qui n’en finissent plus de rien. Rythmer le calendrier d'un huitième jour, d'une heure en plus, petite faiblesse, une fissure dans l'espace d'un temps qui s'échappe inlassablement.
Apprivoiser les inconstances pour s’apaiser aux silences, cruelles inconsciences, de ce qui touche, au plus profond d’un chagrin qui s’englue d’un temps au rabais, d’un pourcentage en plus, d’une promotion de fin de saison, se piétiner les envies aux humeurs capricieuses de quelques larmes, versatiles. S’égratigner le quotidien banal d’histoires à paillettes, de fantasmes en morceaux, rafistolés à coup de fantaisies, puériles, hors d’âge, au fond d’une cave à soupirs, frustrés d’avoir été trop rêvés, spoliés d’une réalité, simplement imaginée, qui ne dure que le temps de l’envisager, sur un fil qui se tisse, fragile. Les mots hurlent, tempérance, des pensées ainsi couchées, d’analyses, de profils acérés d’avoir été étudiés, à vif, sur des vides qui n’en finissent plus de rien. Rythmer le calendrier d'un huitième jour, d'une heure en plus, petite faiblesse, une fissure dans l'espace d'un temps qui s'échappe inlassablement. Je me suis faite embarquer, ni vue ni connue je t’embrouille, par plaisir, pour une virée à la fête de l’Huma, pour y retrouver
 Je me suis faite embarquer, ni vue ni connue je t’embrouille, par plaisir, pour une virée à la fête de l’Huma, pour y retrouver  


 Les séraphins réprouvés s’aiment d’illusions en rêves fugitifs et périssables, ils se désirent avides, se vampirisant dans les heures sombres des nuits sans lune pour se déchirer ensuite d’un revers qui les tue à petit feu, d’un enfer bouillonnant. Ces ombres célestes se détestent à en nourrir l’absence d’un manque qui écorche, de riens qui entaillent, d’impossibles qui traumatisent et les cœurs en fractures se perdent petit à petit dans des crépuscules d’ombres revenantes. Le mal alimente la brûlure de ce supplice qu’on s’inflige, entre âme et conscience, de se croire succube, démoniaque, à l’envie d’être pire, que tout, épouvantablement, triste, à défaut d’être heureux, simplement, clairement. Abominations qui se vénèrent, à se maudire d’affection qui se pompe en intraveineuse, aux heures creuses, sous confusion, de sens à la dérive d’un manque d’amour, qui se cherche à tâtons. Au bout de leurs souffles, les anges déchus, baisent, en attendant la fin du monde.
 Les séraphins réprouvés s’aiment d’illusions en rêves fugitifs et périssables, ils se désirent avides, se vampirisant dans les heures sombres des nuits sans lune pour se déchirer ensuite d’un revers qui les tue à petit feu, d’un enfer bouillonnant. Ces ombres célestes se détestent à en nourrir l’absence d’un manque qui écorche, de riens qui entaillent, d’impossibles qui traumatisent et les cœurs en fractures se perdent petit à petit dans des crépuscules d’ombres revenantes. Le mal alimente la brûlure de ce supplice qu’on s’inflige, entre âme et conscience, de se croire succube, démoniaque, à l’envie d’être pire, que tout, épouvantablement, triste, à défaut d’être heureux, simplement, clairement. Abominations qui se vénèrent, à se maudire d’affection qui se pompe en intraveineuse, aux heures creuses, sous confusion, de sens à la dérive d’un manque d’amour, qui se cherche à tâtons. Au bout de leurs souffles, les anges déchus, baisent, en attendant la fin du monde. Par ailleurs, ça s'amuse aussi sur des envies de jouer, chez Fabien,
Par ailleurs, ça s'amuse aussi sur des envies de jouer, chez Fabien,