Il est beau, il est fort, il est bien gravé, il a deux papas, ce n’est pas courant (gourmande), il a été souhaité et désiré au-delà de tout, avec une envie, un courage et une détermination que j’admire. C’est sûrement avec émoi qu’elle a tenue dans ses bras, ce premier enfant, qu’elle espérait tant, j’aimerais beaucoup qu’il puisse lui apporter les joies les plus nombreuses qui feront d’elle une chanteuse heureuse, une femme comblée.
Moi j’aime, j’aime vraiment ce nouveau né et c’est avec plaisir (non dissimulé) que je me propose de le partager avec l’un ou l’une d’entre vous, j’ai cherché un moyen et finalement un jeu, oui mais comment et sur quoi ? (après plusieurs idées géniales mais un rien compliquées, merci Chaton) j’ai trouvé, je vais vous poser une question, la réponse se trouve sur le blog de Sandrine Cabadi dans une note.
Ca vous semble simple ? Oh mais non car il y a un piège. Je voudrais que vous répondiez de la façon suivante :
un commentaire sur le blog constitué de 4 lignes de rimes en « ule »
la réponse à la question par mail (donc juste pour moi)
Vous suivez toujours ? (visiblement non
) Tant mieux pis. Au premier qui me donnera la réponse j’enverrais le CD, quand aux lignes en « ule » c’est une autre histoire …
La question est :
Quelle est la marque et le poids du piano de Sandrine Cabadi ?

Un inédit, juste pour moi, nous (*c'est une chanson encore en
chantier : c'est beaucoup de travail)


C’est passé, bref, instantané, laconique. Les pensées en morceaux, qui s’ajustent ou se déchirent pour ensuite se redéposer, inconscientes du désordre ainsi provoqué. L’idée que l’esprit s’étire et se tricote des images, des paysages, des histoires, fantastiques, avec des vides sur les inattentions et quelques erreurs en pleurs. Il peut broder aussi sur certains faits établis mais sans suites, des fantasmes écarlates d’avoir à en rougir, sur l’ignorance des conséquences. Se voiler la face pour ne rien voir, simplement y croire, au plus profond d’un désir, camouflé, loin des yeux, mais au plus près d’un cœur que la raison étouffe doucement, sans convictions.



« Il n'y a de réalité que lorsque l'imaginaire ne nous apparait plus. »A. Et toc, dans les dents, entre la réalité et l’imaginaire mon cœur balance, le jeu savoureux des mots à demi-mot, qui se laissent deviner mais uniquement les yeux fermés, restant à couvert d’une moralité de bon ton, le choix est il le bon ? à ma préférence, j’ai le désir qui s’émoustille, c’est futile, mais comme il est écrit, certaines choses ne changent pas, sont difficiles, voir impossibles, la prise de risques est inutile, et pourtant reste le temps, facteur important quand certains songes taquins se mettent à sourire en coin. Alors ? la réalité est elle plus belle que l’imaginaire ? Vaut-il mieux une réalité fragile plutôt qu'un rêve qui habille la nuit et que je te raconte au matin, l’air de rien ?
C’était une dernière fois dans tes bras, je ne compte plus le temps qui passe, j’oublie les dates et ce soir, comme pour attiser le feu de l’absence, je te lis, je relis inlassablement, je regarde les photos, ce nous à jamais figé, je sais que tu n’es plus là et pourtant. Graver dans ma mémoire, sur ma peau, chaque seconde, minute, heure, passées entre tes bras, contre ta tendresse, à me pincer pour dissiper un rêve, qui s’est finalement, évidemment, briser en mille chagrins, de ne pouvoir t’entendre, te voir, te conjuguer au futur, juste t’imaginer heureux.