Quelle étrange sensation que de se sentir, absent, ou tout , juste un instant, le centre de l'attention, le rien des inattentions, transparences, de ce que nous sommes, pour le choc de ce que l'on veut, être, à jamais, sans recevoir ce que l'on aimerait, peut être tant, sans être d'aventure suffisant, sans aucun doute, mais avec pudeur, s'aigrir, à l'essence des désirs inavoués, des sens aveuglés, par des contours, en contre jour troublé, compte à rebours, d'un soir d'hiver qui se presse à la lueur, d'un imperceptible coup de coeur , je te veux, sans armes, ni bagages, sans passé, à l'avenir, d'un souhait, simplement espéré, sans oser imaginer, qu'une heure, puisse, à moi s'offrir, ainsi, à l'imaginaire de ce qui pourrait te plaire, dit moi tout, dit moi à jamais, sans que rien ne vienne, briser, ce conte à des fées offert, à la moralité douteuse, sans doute, sans être heureux, le bonheur n'est peut être pas, une fin à l'histoire, malheureuse, à l'évidence, de l'attraction, de ta chimie explosive, où se collent, les envies de l'absence, un rien cruelles, à peine douloureuses, juste un peu, à l'aplomb d'un souvenir, qui s'étiole, en quelques carences, béantes, délictueuses.