Au coeur du voyage, l'ivresse du plaisir prend son envol
De pensées sages propices à l'invitation de la découverte d'un Toi, d'un Moi, d'un Nous.
La fusion de deux corps, de deux âmes se transporte sur les contrées inconnues
De la déraison et de l'abandon.
Force et violence se mêlent à ce jeu emprunt de tendresse et de volupté
A la recherche d'un Nous que l'on voudrait un dans l'osmose d'un imaginaire conquérant
Lutte sans égale pour faire passer le message brûlant , indicible car trop fort pour être nommé.
Empreinte brûlante que l'on désire fixer dans la chair, dans l'âme, dans l'espace et le temps.
Un trop plein d'amour que l'on ne peut contenir et qui se déchaîne au delà de l'envie d'aimer.
Comme une toile abstraite, les couleurs du Nous se mélangent pour nous permettre encore de tout imaginer.
Manue, Dans mon Univers


Ne rien voir, ne rien entendre, fermer les yeux sur les indécences, l’ignorance a le beau rôle, effacer et la retrouver, juste une minute, sur une heure qui s’étire sur un fil, sous tension, en point de rupture, innocente, se frotter à l’illusion, juste pour le frisson, en touches d’appréhension, sans l’ombre d’une anticipation, sans préméditation, comme il est doux de t’oublier pour de nouveau te réaliser. Mais un temps pour tout et rien n’est comme avant, ce qu’on préférait ignorer mais qu’on se prend en pleine figure, stoïque, l’air et la mine de rien, acteurs en artifices, se taire ou s’émouvoir de ses déceptions, désillusions, en chaîne, en chutes, en point, final, le miroir s’est brisé, les éclats se sont éparpillés et pour ne pas se blesser, il faut nettoyer, jeter, même si cela est impossible, changer d’oxygène, voir ailleurs si c’est mieux ou pire, encore, peut-on se nourrir d’espoirs, qu’on nous dévore, le cœur, tourné, sans retour, va savoir.
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Je ne fabule pas, ou plus, déçue, abîmée, peut être, je préfère les réalités, même loin des contes de fées, du palpable, bordé de surprises, qui brillent, de feux d'artifices, et surtout, de lendemains où l'on ne regrette rien. Alors tes remords tu peux te les coller où je pense, et profondément, histoire de les oublier, à tout jamais, adieu, on se quitte, un non revoir, sans bientôt, mais sur un mal, trop tard. Tu seras un toujours mais tu n’en sauras rien, ça sera bien caché au fond d’un tiroir à souvenirs, au milieu des morceaux de vie, découpés et recollés, pour un pense bête d’âme en peines. De temps en temps je te retrouverais, comme l’on retrouve un peu de sable au fond d’un sac ou quelques mots sur un papier, entre deux pages d’un livre usé, ça fera bizarre, j’y repenserais quelques jours, j’y mettrais sûrement de la couleur, je verrais certaines choses autrement, la douleur sera non coupable et les bonheurs deviendront inimitables, l’unique comme marque de fabrique, oui ça fera du bien de te retrouver, par hasard, dans un creux de la vie, quelques minutes dans une nuit.