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Voyages de nuit - Page 50

  • Manue sur "Simplifie-moi"

    Au coeur du voyage, l'ivresse du plaisir prend son envol
    De pensées sages propices à l'invitation de la découverte d'un Toi, d'un Moi, d'un Nous.
    La fusion de deux corps, de deux âmes se transporte sur les contrées inconnues
    De la déraison et de l'abandon.
    Force et violence se mêlent à ce jeu emprunt de tendresse et de volupté
    A la recherche d'un Nous que l'on voudrait un dans l'osmose d'un imaginaire conquérant
    Lutte sans égale pour faire passer le message brûlant , indicible car trop fort pour être nommé.
    Empreinte brûlante que l'on désire fixer dans la chair, dans l'âme, dans l'espace et le temps.
    Un trop plein d'amour que l'on ne peut contenir et qui se déchaîne au delà de l'envie d'aimer.
    Comme une toile abstraite, les couleurs du Nous se mélangent pour nous permettre encore de tout imaginer.

    Manue, Dans mon Univers

  • Simplifie-moi

    1594577003.2.jpgRéduis-moi au silence, cloue-moi la bouche, fixe-moi sur l’instant, violemment, du bout de la langue, lie-moi de tes mains, sans liens, étouffe-moi de ton avidité, que j'en oublie de respirer, esquisse un délice, d’un doigt, tatoue-moi, à vif, la chaleur des prémisses. Enchaîne-moi à ta peau, aimante-moi à ton sexe, invente-nous les règles d’un jeu, à deux, sans artifices mais dans le feu, qui éclate, déborde, explose, passionnément, en détresse. Réanime-nous, sous le choc, dans un désir apocalypse, pleure ta jouissance comme dans une tragédie, temps mort, au coin d’une nuit, prend-moi, en furie, comme on vit, comme si c’était la fin, demain, la dernière heure, le bout de tout, juste pour nous, survivants, éperdument.


    podcast

  • Je ne m'en lasse pas

    Je sais c'est pas nouveau, c'est vu et revu mais n'empêche, j'ai pas l'impression d'avoir vu mieux depuis.

    Titre original/Titre français: For the Birds / Drôles d'oiseaux sur une ligne à haute tension

    Réalisateur: Ralph Eggleston année de production: 2000 durée: 3 minutes

    Une grande perche un peu maladroite, différente, au rire comme c'est pas permis, mais qui apprendra à une bande de volatiles mal léchés la tolérance.
  • Arrière-pensée

     Ne rien voir, ne rien entendre, fermer les yeux sur les indécences, l’ignorance a le beau rôle, effacer et la retrouver, juste une minute, sur une heure qui s’étire sur un fil, sous tension, en point de rupture, innocente, se frotter à l’illusion, juste pour le frisson, en touches d’appréhension, sans l’ombre d’une anticipation, sans préméditation, comme il est doux de t’oublier pour de nouveau te réaliser. Mais un temps pour tout et rien n’est comme avant, ce qu’on préférait ignorer mais qu’on se prend en pleine figure, stoïque, l’air et la mine de rien, acteurs en artifices, se taire ou s’émouvoir de ses déceptions, désillusions, en chaîne, en chutes, en point, final, le miroir s’est brisé, les éclats se sont éparpillés et pour ne pas se blesser, il faut nettoyer, jeter, même si cela est impossible, changer d’oxygène, voir ailleurs si c’est mieux ou pire, encore, peut-on se nourrir d’espoirs, qu’on nous dévore, le cœur, tourné, sans retour, va savoir.

    free music
  • Astuce détente

    778692316.jpgNewsletter de Psychologie.com, sympa, je note "Pour me dé-stresser " curieuse, je clique et je lis :

    Je me dis mentalement : je suis dans mes pieds, je suis dans mes mollets, je suis dans mes cuisses, je suis dans mes avants-bras, je suis dans mes bras, je suis dans mes mains... Un courant de détente parcourt alors mon corps emportant un court instant mon attention sur des parties de mon corps.

    A défaut de me dé-stresser, ça m'aura, au moins, fait marrer.

  • Grosso modo


    podcast

    446837049.jpg17 jours, 510 non fumées et 125.50 euros d’économisés, heure d’été, tête dans le cul, autiste du week end, je me tire une balle dans le pied mais j’avance, une banderole de la honte, demain c’est le 1er avril, un message à l’accent craquant, une envie, un café en fin de journée, un temps pourri, le cerisier en fleurs, pourtant, le dernier Bashung, sublime, rien à dire, mais ça me permet de tester, l'appareil photo de mon nouveau téléphone portable et un clin d’œil, ce soir c’est salsa.

  • Le début de la fin

    free music

    Je ne fabule pas, ou plus, déçue, abîmée, peut être, je préfère les réalités, même loin des contes de fées, du palpable, bordé de surprises, qui brillent, de feux d'artifices, et surtout, de lendemains où l'on ne regrette rien. Alors tes remords tu peux te les coller où je pense, et profondément, histoire de les oublier, à tout jamais, adieu, on se quitte, un non revoir, sans bientôt, mais sur un mal, trop tard. Tu seras un toujours mais tu n’en sauras rien, ça sera bien caché au fond d’un tiroir à souvenirs, au milieu des morceaux de vie, découpés et recollés, pour un pense bête d’âme en peines. De temps en temps je te retrouverais, comme l’on retrouve un peu de sable au fond d’un sac ou quelques mots sur un papier, entre deux pages d’un livre usé, ça fera bizarre, j’y repenserais quelques jours, j’y mettrais sûrement de la couleur, je verrais certaines choses autrement, la douleur sera non coupable et les bonheurs deviendront inimitables, l’unique comme marque de fabrique, oui ça fera du bien de te retrouver, par hasard, dans un creux de la vie, quelques minutes dans une nuit.

  • Pour retrouver ma tête

    J'ai décidé d'aller voir la mer, cqfd, voir note du 20 mars 2008, ce que j'ignorais en partant ce matin, c'est que j'allais aussi voir la neige, temps tout pourri et c'est peu de le dire, pour une ballade en solitaire, les fesses sur les galets mouillés, sous les flocons, sans clopes, un dimanche, ça l'a pas fait, en revanche ... dadada (suspence) le café chez Faits divers, un pur délice, d'abord parce que servi dans des verres à thé, par une jeune femme resplendissante, au sourire magique, avec une tonne de douceur dans le regard. Le p'tit prince est une merveille et son papa charmant, pour résumer j'aurais pu dire que j'adore la Normandie et pas seulement pour son camembert et ses plages du débarquement. Merci Jolie Fée pour l'accueil et cette invitation qui m'a beaucoup, beaucoup, touché, pour la visite de l'atelier et le cadeau (déjà accroché).

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