Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Voyages de nuit - Page 15

  • Agrandir la vie

    Celle qui qui s'en va chercher un bout du mondeL’an dernier c’était ça et c’était fantastique.
    Cette année on remet le couvert avec Fiso pour un nouveau  voyage :
    Samedi 16 avril 2011, 21 :15 Paris, Charles de Gaulle, France-22 :15 Dublin, Irlande.
    Samedi 30 avril 2011, 19 :35 Dublin, Irlande- 22 :25 Paris, Charles de Gaulle, France.
    Et entre les deux, une voiture, le guide, la Guinness, et l’aventure ...

    Celle qui qui s'en va chercher un bout du monde

    Comme dit un proverbe, « en Irlande, il fait beau... plusieurs fois par jour ! ».

  • L’instantané miraculeux se fane d’un non-sens

    Celle qui se trompe de voûteJ’ai gravé par erreur une distraction légère sur ma mémoire peau, égratignée, estropiée, elle a l’imprudence de me distraire comme une épreuve déroutante.  Etourdie par cette absence, j’ai peur de l’oubli par omission, la crainte que ne se dissipe la particularité de ce désir est singulière. Sous la coquille fragile se cache l’absurde d’être aimée par défaut, comme on s’échappe dans un malentendu, une bavure au quotidien, le lapsus d’une vie naïve.

  • Les délirantes passagères

    celle qui s’infléchie tordueUn vertige, sombre, âpre sur une lenteur doucement attendrissante pourtant  et un silence aigu, indicible, posé sur l’indéfinissable songeuse, la fugitive anxieuse qui se blesse à ses failles, s’enchaîne. Soupirer une intention indéfinie, vaguement confuse, une négation sans nuance et  quelques tendances à l’amertume vaine, inutile. Dissiper l’épreuve, ineffable phénomène s’inclinant sur sa proie tourmentée. Exprimer pour s’exhorter, plonger, sombrer et dans l’évidence de cette chute, se surprendre et se voir consternée, évidemment.

    Sache souffrir. Mais ne dis rien qui puisse troubler la souffrance des autres ... Léon-Paul Fargue

  • A rien d'autre que soi

    celle qui avance à l’aide de ses sens contrairesIntimes caresses, laisse faire, laisse courir le désir à la peau attaché, devine le chemin du sauvage abandon, unique différence entre plaisir et passionnément, projet fou d’une perte de raison, éperdument. Peut-être chimérique, mais fantastique, fabuleuse sensation d’une déroute en émotions. Concevoir une fuite en émois pour briser la langueur de l’espace nu, hanter le vide, le pénétrer pour l’inonder de frémissements, troubles de sang-froid, à chaud, rendre l’âme et l’accorder pour  succomber à la luxure. Défaillir jusqu’au vertige. En mourir pour disposer d’une inspiration, d’une nouvelle perspective et ainsi rétablir des fonctions vitales, primitives et absolues.

    Illustration ^kuschelirmel

  • Venise sous la neige

    Webguichet-venise_sous_la_neige.jpgPar la Compagnie En Vie 2 Scène.

    De Gilles Dyrek. Mise en scène Christian Bujeau.
    Avec Alexandra Moussai, Maud Dreyer, Louis Bujeau, Nicolas Lorcy.

     Entraînée par son ami avec qui elle vient de se disputer, Patricia arrive furieuse à un dîner "entre amis" où elle ne connaît personne. Comme elle ne dit pas un mot, on la prend pour une étrangère. Elle entretient alors le quiproquo et fait voler la soirée en éclats ...

    Et nous on passe un formidable moment et dieu que c'est bon de rire ainsi, de se laisser porter par le jeu des acteurs talentueux qui nous offre sur scène cette soirée délirante, doux dingues et tendres cruels, j'ai un instant pensé au dîner de cons.

    C'est au théatre Point Virgule les Dimanches à 16 h jusqu'au 27 mars  prolongations jusqu'à la fin du mois de JUIN et clairement laissez vous tenter si vous le pouvez.

     

  • Une ressource

    Ça détourne l'attention et c'est subliment bon.

    Ce que j'admire en vous, c'est que vous avez le courage d'être vous-même,

    avec tout ce que cela comporte de ridicule !

    Raymond Devos